L’association Les Déboulonneurs, spécialistes de ce genre d’action mais qui ne revendique pas celle de Bellecour, se félicite de l’initiative. Selon elle, la loi Grenelle 2 de l'environnement entraîne la prolifération de supports publicitaires sans limite de taille.
La vidéo de la vandalisation de la bâche géante de la place Bellecour
MERCI A Plus d'informations
Signaler Répondremoi je trouve ça plutot sympa de vandalier ce gere de chose. @ vive la pub: en prison ? non mais franchement ... et moi qui voit tt c ptits cons qui passent derriere moi ds la metro sans payer !! et qui fouttent le bordel voyez le genre de gars ? de grenoble quoi !! eux ils leur faut la prison ça c sur !! Pour cet acte, je dis plus respect pour la technique parce qu'il faut le faire de découper une bache sur un echaffaudage à 25 m de haut !! et bravo pour l'idée !!
Signaler RépondreQue de faux commentaires !!! Lyon Mag n'a pas changé...
Signaler RépondreGénial des faux commentaires, Lyon Mag n'a pas changé... toujours aussi faux.
Signaler RépondreLa toile publicitaire apposée sur un immeuble inscrit au patrimoine des monuments historiques le 13 juillet dernier vient d'être vandalisée. Il est important de rappeler que l'installation de cette toile publicitaire par la société Premium Média XL a fait l'objet du respect d'un cahier des charges précis et drastique, dans le cadre d'un décret du Code du Patrimoine * ayant trait au financement de travaux de rénovation. Loin d'être une simple opération de communication originale, cette opération relève d'une démarche de mécénat publicitaire sans laquelle les travaux de rénovation du bâtiment n'auraient pu avoir lieu. Ce dispositif a été choisi et cautionné par Christian VERNAT, Directeur du syndic de copropriétaires Simoneau Barnier qui a en charge l'immeuble de la rue de la République afin de solder la facture et de rénover ce bâtiment en tête de pont des deux principales artères lyonnaises dans les meilleures conditions : intervention d'un architecte du patrimoine pour superviser les travaux, tailleur de pierre, nettoyage, choix des intervenants en fonction de leur compétence et non du prix? Le cahier des charges du décret est le garant du respect du patrimoine et de la bonne intégration du message publicitaire dans l'environnement : reprise du fond de façade pour conserver un caractère authentique, publicité n'excédant pas 50% de la surface imprimée? Dans ce contexte, Premium Média XL doit présenter le projet et obtenir une approbation collégiale des Bâtiments de France, de la Direction Régionales des Affaires Culturelles, de la Préfecture pour chaque nouvel annonceur et chaque nouveau visuel. En outre, la société Premium Media XL bénéficie sur ce dispositif du parfait soutien de la ville et du Grand Lyon qui sera le prochain annonceur pour la promotion du Festival du Film et de la Biennale. *Extrait du Code du patrimoine, art. L. 621-29-8 "Par dérogation à l'article L. 581-2 du Code de l'environnement, dans le cadre de l'instruction des demandes d'autorisation de travaux sur les immeubles classés ou des demandes d'accord de travaux sur les immeubles inscrits, l'autorité administrative chargée des monuments historiques peut autoriser l'installation de bâches d'échafaudage comportant un espace dédié à l'affichage. Les recettes perçues par le propriétaire du monument pour cet affichage sont affectées par le maître d'ouvrage au financement des travaux. Les modalités d'application du présent article sont fixées par décret en Conseil d'État." Ce décret, applicable à compter du 01/10/2007, dispose notamment que : "l'autorisation d'affichage est délivrée au vu de la comptabilité du contenu de l'affichage, de son volume et de son graphisme avec le caractère historique et artistique du monument et de son environnement, sa destination et son utilisation par le public, en tenant compte des contraintes de sécurité. Elle peut être assortie de prescriptions ou d'un cahier des charges. Elle détermine en particulier, selon les dimensions de l'échafaudage et du monument, les limites de la surface consacrée à l'affichage, qui ne peut excéder 50 % de la surface totale de la bâche de support, l'emplacement de l'affichage sur la bâche ainsi que la durée de son utilisation, qui ne peut excéder l'utilisation effective des échafaudages. Elle peut prescrire que la bâche reproduise, sur les surfaces laissées libres, l'image du monument occulté par les travaux. Les références de cette autorisation ainsi que l'indication des dates et surfaces visées au deuxième alinéa doivent être mentionnées sur l'échafaudage, de manière visible de la voie publique, pendant toute la durée de son utilisation. »
Signaler RépondreLa pub affichée dans la rue nous est iimposée, nous sommes obligés de la voir, c'est une agression à la liberté de pensée, c'est contraire à la déclaration des droits de l'homme. Merci à ceux qui ont fait ce coup.
Signaler RépondreC'est scandaleux de détruire quoi que ce soit que ce soit une pub, une enseigne d'un magasin. Que l'on aime ou pas l'OL, c'est un acte scandaleux qui mérite la répression. Moi j'aimerais bien savoir comment ils ont fait pour marquer "stop pub" parce que il faut de gros moyen pour le mettre là ou cela a été mis. et surtout sans que cela se voient.
Signaler Répondretrop de pub de partout ! c'est très bien, au moins cette pub moche pour ce maillot horrible a disparu
Signaler Répondrec'est tout simplement scandaleux que les fauteurs de trouble ne soient pas en prison à l'heure qu'il est ! leur action est illégale.
Signaler RépondreDerrière la dénonciation, c'est n'est qu'un acte de vandalisme, pur et simple. Il n'y a pas à tergiverser cent ans
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