Le quotidien cite le document dans lequel il est dit que cette situiation est liée "au monopole légal dont bénéficie l'opérateur" et à une "tarification déterminée en fonction de considérations d'équilibre national. L'article des Echos ajoute que "les magistrats reprochent à la ville de s'être longtemps bornée à faire analyser par ses agents « les comptes rendus d'activité annuels » du délégataire, dont la présentation ne donnait lieu à aucun débat en conseil municipal". Mails il précise que ces mêmes jugent reconnaissent « qu'elle a entrepris depuis quelques années des efforts pour se structurer et se doter d'outils qui pourraient lui permettre d'exercer un contrôle plus approfondi ».
Dans le rapport de la chambre régionale des comptes, on apprend aussi que la ville "pourtant propriétaire des réseau, ne dispose d'aucun inventaire et ne connaît pas non plus la localisation précise de ses biens". Enfin, les magistrats invoquent, selon Les Echos, "un âge moyen du réseau bien supérieur à la moyenne" et met en avant "sa bonne tenue".