13h01 : "Je présente à tous ceux venus m'écouter des vœux personnels et professionnels. Aux acteurs du monde économiques, des vœux personnels et professionnels. A M. le Maire, uniquement des vœux personnels." Rires dans l'assemblée. Gérard Collomb appréciera. Fin du discours très offensif d'un Sarkozy tout aussi président que candidat.
12h58 : "La France peut résister à la crise. Elle à tous les atouts pour faire face à la situation. Travail, effort, innovation, c'est la stratégie à mener."
12h56 : Sarkozy termine en roue libre, et en candidat : "Cela demande de la part des responsables politiques de nouvelles exigences. Dans ce monde là, nous n'avons plus le droit de mentir, de manquer de courage. Nous devons travailler ensemble, les uns avec les autres, parce que personne n'a la vérité. Parce que nous devrons aller chercher les majorités au-delà de ceux qui partagent depuis toujours nos idées."
12h55 : Sarkozy s'adresse aux acteurs économiques du Rhône: "La situation est très difficile. Elus locaux et entrepreneurs, nous sommes confrontés à une situation où il faut gérer les souffrances. Il faut tout inventer. Au XXI siècle, les idéologies du XXe ne fonctionnent pas. Il faut décider très rapidement. Voià ce qui a changé le plus ces dix dernières années, c'est la rapidité des décisions que nous devons prendre."
12h49 : Nicolas Sarkozy annonce la création d'un banque pour l'industrie "pour investir dans la croissance et l'emploi." Le président annonce qu'il souhaite également "régionaliser les FSI", car "tout ne doit pas se jouer à Paris."
12h44 : "Il faut que la France reste une terre de production et dans cette région qui est la votre, il serait absurde de faire le pari du service et pas celui de l'industrie", continue Sarkozy.
12h41 : "Il faut à tout prix alléger le coût du travail. Le jour où l'industrie ne sera plus là, les services ne mettront aux services de qui ? La France doit rester une terre de production."
12h38 : "La crise oblige chacun d'entre nous à se remettre en cause." Petit message à l'attention des collectivités locales, représentées au 1er rang avec Collomb (Grand Lyon) et Queyranne (Région Rhône-Alpes). L'état des finances de ces dernières est pourtant bien meilleur que celles de l'Etat.
12h36 : "La fatalité ne fait pas parti de mon vocabulaire. La fatalité, le renoncement, ce n'est pas possible."
12h34 : "Il faut lutter contre le cancer du chômage. Est-ce raisonnable de dire au 120 000 chômeurs de plus de l'année dernière que nous devons attendre les élections avant de s'occuper d'eux ?"
12h33 : Depuis la salle de presse, la directeur de la communication de l'Elysée Franck Louvrier l'assure : "le président est sans fiches, et il est très offensif !" Le président tient un vrai discours de candidat à la présidentielle.
12h31 : Et pour Sarkozy, offensif, de continuer sur le même thème : "Je laisse certains faire leurs petite cuisine, entre les Primaires pour les uns et les émissions de télévision pour les autres"
L'entrée d'Eurexpo - Photo LyonMag.com
12h31 : Sarkozy revient sur le
sommet social organisé hier avec les partenaires sociaux à l'Elysée. Le
président veut s'expliquer sur le contexte de ces décisions. "J'ai
bien compris que j'avais été élu pour 5 ans. Mais si on décide de ne
rien parce qu'il y a des élections, on ne fait rien, il y a des
élections tous les ans."
12h29 : C'est
un véritable discours de président-candidat qui est déroulé à Eurexpo
par Nicolas Sarkozy : dette publique, fonctionnaires, enseignement
supérieur et règle d'or sont au programme.
12h25 : Nicolas Sarkozy s'exprime sur la dégradation de la note de la France par Standard's and Poors : "On
a vu un spectacle indécent d'hommes et de
femmes qui semblaient se réjouir dans cette situation sans trop y
croire."
12h20 : Le Président Sarkozy s'adresse à
Gérard Collomb à propos de la grève des agents de sécurité à l'aéroport
Saint-Exupéry qui avait bloqué les vacanciers en décembre : "Les vacances des Français n'ont pas à être pris en otage par une minorité qui n'a pas à paralyser les Services publics."
12h17 : "J'étais
il y a quelques instants chez Seb qui vend les 3/4 de sa production à
l'export. Vous pensez que si nous fermons nos frontières nous pourrions
continuer à vendre les produits français aux autres?"
12h15 : "L'Europe
nous garantit la paix. Laissez détruire l'Europe, c'est nous mettre
dans la situation de ce que nos parents et grands-parents ont connu."
12h13 : "Certains disent 'il faut refuser la mondialisation'. Je dis non."
12h11 : Le discours commence : "J'ai voulu venir dans la région lyonnaise qui représente l'excellence de la tradition industrielle et commerciale française."
12h03 : Nicolas Sarkozy est arrivé à Eurexpo. Il a été accueilli par les parlementaires UMP du Rhône et de la région lyonnaise. Sa visite à l'usine SEB de Pont-Evêque en Isère a été plus longue que prévue, le Président a déjà 10 minutes de retard sur l'horaire.
11h57 : Parmi les invités présents au premier rang, il y a notamment Mickaël Peters, le président d'Euronews et François Turcas, le président de la CGPME du Rhône.
11h55 : "Oui, je suis invité, je suis donc venu", rappelle Denis Broliquier, le maire du 2e arrondissement de Lyon. Interrogé sur les échéances électorales futures, il assure "que le discours du Président lui permettra de nourrir sa réflexion." Denis Broliquier avait quitté l'UMP en 2008, après une dernière présence sur les listes électorales pour les élections municipales avec Dominique Perben.
11h47: Jean-Michel Aulas (président de l'OL) : "Nous attendons un message d'espoir de la part du président au regard du contexte international et de la crise, il faut un message d'espoir."
11h45 : Christophe Boudot (secrétaire départemental du FN) : "Je n'attends rien de ce discours. La conférence de presse d'hier a été assez équivoque."
11h30 : important dispositif de sécurité à Eurexpo. Treize portiques ont été installés à l'entrée. Les agents de sécurité ont reçu pour consigne d'être très vigilants.
Certains confondent trésorerie et recettes.
Signaler RépondreSi l'état verse ses cotisations, la Sécu est toujours en déficit, seule sa tésorerie s'en portera moins bien.
CQFD
"lutter contre le cancer du chômage".
Signaler RépondreOn lutte contre le cancer
On lutte contre le chômage.
Si on lutte contre le cancer du chômage... on est pour le chômage !
Toujours aucune capacité de raisonnement logique.
Ou toujours aucune capacité à parler un français correct.
Ou les deux.
Au choix...
réponse a martin = mdr le trop de fonctionnaires ;)
Signaler Répondrequelle méconnaissance de la france et de son milieu professionnel,ainsi que de l'instrumentalisation de certaines catégories par les politiques pour expliquer leur incurie,n'oubliez pas que la sécu est bénéficiaire de 10 M d'euros si elle percoit ce qui doit lui etre versé etc pour toutes les conjectures
cqfd a l'heure d'internet
@Tenemelques Vous avez raison, notre population active croît plus vite que celle de l'Allemagne ou des Etats-Unis. Mais ne nous y trompons pas, ce facteur démographique a bien plus d'avantages pour nous que d'inconvénients. En outre, cela ne doit pas non plus occulter le fait que les économies allemande et américaine soient créatrices d'emplois à un rythme bien plus soutenu que la nôtre.
Signaler Répondrec est bien de penser aux chômeurs avant une élection,mais il aurait pu s'y atteler par exemple quand il a fait baisser la tva des restaurateurs (sans résultats significatifs sur l'emploi) dont cette manne de plusieurs milliards aurait pu être consacrés justement aux chômeurs
Signaler RépondreDe même quand il a fait les heures sup pour doter le pouvoir d'achat de quelques uns seulement:tout son bilan n'est pas noir mais ses conseillers proches aveugles n'ont pas vu venir la crise:ça va lui couter cher comme pour beaucoup de gouvernements d'autres pays européens déjà éjectés
Verbiage pseudo intellectuel.....
Signaler RépondreMerci v-p ! Comment expliquer en effet que les économies américaine et allemande se portent mieux que la nôtre ?
Signaler RépondrePour le calcul d'un taux de chômage, deux paramètres interviennent : le nombre d'emplois, mais aussi ce qu'on n'évoque trop peu : le nombre d'actifs.
Notre population, dont celle des actifs, augmente, tandis que celle des Allemands diminue. On peut donc par exemple créer plus d'emplois qu'on en perd, et voir pourtant voir notre taux de chômage augmenter.
Au-delà de cette première explication strictement économique, comment ne pas y ajouter la retraite à 60 ans, les 35 heures et ce modèle français post-soixante-huitard uniquement qui nous oriente vers l'assistanat et l'individualisme.
Notre abdication n'est pas meurtrière de notre volonté,mais au contraire elle la développe,l'arme et la fortifie,elle la protège si elle est frêle,la développe si elle est chétive,la vivifie si elle est anémique.Elle force à immoler les vouloirs inférieurs et égoïstes à des volontés supérieures:Elle oblige aussi à dominer les révoltes intéressées,l'orgueil,les impatiences,et cela constitue un excellent exercice,un tremplin pour la volonté qui nous anime tous,l'obéissance aux règles que nous nous sommes fixées est pour notre volonté une excellente hygiène,une précieuse gymnastique,cette obéissance canalisera l'effort à faire pour lui faire atteindre plus sûrement notre but!
Signaler Répondre@Tenemelques Et quand on voit la baisse du chômage en Allemagne et aux Etats-Unis, on continue de triompher ? Ou on commence à se poser des questions ?
Signaler RépondreNotre abdication n'est pas meurtrière de notre volonté,mais au contraire elle la développe,l'arme et la fortifie;elle la protège si elle est frêle,la développe si elle est chétive,la vivifie si elle est anémique.Elle force à immoler les vouloirs inférieurs et égoïstes à des volontés supérieures:Elle oblige aussi à dominer les révoltes intéressées,l'orgueil,les impatiences,et cela constitue un excellent exercice,un tremplin pour la volonté qui nous anime tous,l'obéissance aux règles que nous nous sommes fixées est pour notre volonté une excellente hygiène,une précieuse gymnastique,cette obéissance canalisera l'effort pour lui faire atteindre plus sûrement notre but!Merci Mr.Le Président de le faire comprendre à l'ensemble de tous vos collaborateurs.
Signaler Répondre@Tenemelques. Et que fera Hollande...
Signaler Répondre@Joel : le bon sens n'est pas interdit. Votre raisonnement est bon en période normale, mais -au cas où vous ne l'auriez pas remarqué- c'est la crise mondiale. Un chômage maintenu, contenu, en-dessous de la barre des 10%, c'est presque un triomphe pour Sarkozy, quand l'on voit les 20% de chômage espagnols ! Qu'aurait fait Mme Royal ?
Signaler Répondrejoel,
Signaler Répondreil ne faut pas oublier que le monde a entre temps subit un petite (ironique) crise .
Parfaitement d'accord !
Signaler RépondreAvec un parlement européen, pourquoi garder autant de députés nationaux, de sénateurs et tous les privilèges qui vont avec ?
Dites moi pas que c' est pas vrai ! On croit etre dans un cauchemar......
Signaler Répondrebonjour
Signaler Répondrece qui mu choque , c'est une fois de plus , le train de vie de l'etat n'est pas remis en cause :
trop de ministres , trop de fonctionnaires , , trop de commissions, trop de soi disant spécialistes la france souffre ,de trop de gens qui soit disant réfléchissent
MAIS OU EST LE BON SENS????
TURCAS , ouaf , ouaf .....
Signaler RépondreQuel suspense , on se croirait dans 24 heures!
Signaler RépondreLes voeux ne s'adressent-ils pas aux forces économiques de la région ?
Signaler RépondreQue font tous ces professionnels de la politique à ces voeux, eux qui pillent les économies des français en grosses indemnités qu'ils se votent eux même, et en gros avantages qu'ils s'octroient encore eux mêmes, et qui coûtent plusieurs miliards d'euros à la Collectivité.
Depuis mai 2007, la France compte 1 013 300 demandeurs d’emploi supplémentaires En 2007, le candidat UMP voulait faire « travailler plus » les Français.
Signaler Répondre5 ans plus tard, un million de personnes supplémentaires ne travaillent plus du tout : voilà le vrai bilan du sarkozysme