Et ce n’est surement pas un hasard si les travaux du Stade des Lumières
ont débuté lundi sur le site du Montout à Décines. Les premiers engins
sont arrivés sans encombre, les opposants au projet n’ont pas profité de
l’événement pour manifester.
Car la situation n’est encore
complètement réglée pour la naissance de ce futur édifice de
l’agglomération lyonnaise. Le comité de pilotage de l'Euro 2016 devrait
aborder avec beaucoup d’intention ce dossier brûlant. Michel Platini le
président de l'UEFA sera bien présent aux côtés de Valérie Fourneyron la
ministre des Sports, Noël Le Graët le président de la FFF, Jacques
Lambert le président du comité d’organisation ou encore Maurice Vincent,
le maire de Saint-Etienne, élu président du club des villes hôtes.
Mais
si les dossiers de certains stades ont été débloqués, comme à Lens,
celui de Lyon doit encore faire face à plusieurs difficultés pour sortir
de terre.
Pour rappel, le tribunal administratif de Lyon va statuer en décembre sur un recours d'opposants au Stade des Lumières.
Un
recours qui pourrait être une embûche supplémentaire dans ce dossier
qui a déjà connu de nombreux retards. Mais Jean-Michel Aulas, le
président du club lyonnais, confie au Figaro avoir une solution
imparable : "nous envisageons de souscrire une garantie "permis de
construire" qui permette de financer sans risque la construction de
l’enceinte malgré les recours en cours". Un contrat avec une société
spécialisée pourrait même être signé prochainement.
L’Olympique
Lyonnais affirme haut et fort que le stade de 58 000 places sera terminé
au premier semestre 2015. Mais se pose encore le problème de son
financement. En effet, l’OL va "mettre plus de 100 millions d’euros",
rappelle Jean-Michel Aulas au Figaro. "Nous négocions avec Vinci pour
que ce groupe apporte entre 80 et 100 millions d’euros et nous
emprunterons le reste aux banques, soit 200 millions d’euros".
Mais
les banques, elles, n’ont toujours pas donné de réponse. Et toujours
selon le Figaro, leur décision pourrait avoir une forte influence sur la
position de Vinci qui ne serait pas prêt à apporter les 80 à 100
millions de fonds propres. Les collectivités locales (le Grand Lyon, le
Conseil général ou la Région Rhône-Alpes) ne confirment pas non plus
qu’elles apporteront leurs garanties au projet de construction.
Les tractations sont donc loin d’être terminées…
d'autant qu'on lire peut que ce risque est couvert pour les "risques illégitimes"
Signaler RépondreJusqu'à nouvel ordres les recours en cours sont dans un cadre tout à fait légitime ...
Pas sure que les assureurs prennent le risque de couvrir ces risques (sismique, administratif, sous valorisation du terrain vendu, etc..)
d'autant qu'on lire que ce risque est couvert pour les "risques illégitimes"
Signaler RépondreJusqu'à nouvel les recours en cours sont un cadre tout à fait légitime ...
Pas sure que les assureurs prennent le risque de couvrir ces risques (sismique, administratif, sous valorisation du terrain vendu, etc..)
il a fumé aulas ? Enfin on verra demain lors de la présentation des comptes 2011-2012 de l'ol, où il va trouver les plus de 100 M€ qu'il annonce vouloir "mettre" ... j'ai une piste : vendre l'ensemble de l'effectif pro à un club russe ou chinois ... pas sur que ça suffise !
Signaler RépondreEt à propos de cette "garantie permis de construire" :
http://www.argusdelassurance.com/acteurs/mutuelles-d-assurance/smabtp-sort-sa-garantie-permis-de-construire.52447
de plus en plus aux abois, le jean-mi-mi !!!