Ces enfants roms sont arrivés avec leurs familles dans la commune du sud de Lyon en aout dernier. Selon Gilberte Renard, de l’association CLASSES (Collectif Lyonnais pour l’Accès à la Scolarisation et le Soutien aux Enfants des Squats), la mairie a dans un premier temps refusé de les scolariser par manque de places dans les écoles de la ville. Un compromis a finalement été trouvé en novembre avec la mise à disposition de ces locaux. "On a accepté pour qu’ils soient scolarisés, mais c’est un ghetto. A leur étage il n’y a ni eau, ni téléphone, ni sanitaires" dénonce Gilberte Renard. "L’autre problème c’est qu’ils n’ont pas accès à la cantine. Nous avons proposé de payer, mais la maire évoque un manque de places. Certains enfants ne mangent pas de toute la journée".
La mairie se défend en évoquant les "classes déjà surchargées", "un service de restauration saturé auquel les Sainfoniards n’ont pas tous pu avoir accès cette année", et rappelle qu’un groupe scolaire en construction doit ouvrir en septembre prochain. Elle affirme par ailleurs que "des investissements en termes de matériel et de supports pédagogiques ont été réalisés".
Face à cette situation, l’association CLASSES exige que ces enfants roms "aillent dans l’école de la République". Elle vient de lancer une pétition qui sera remise le 18 février prochain au maire de Saint-Fons, Christiane Demontès, et à l’inspectrice de la circonscription. De son coté le MRAP du Rhône dénonce "une nouvelle forme de discrimination" et demande "la scolarisation effective de ces enfants dans une école et non dans un bâtiment de la police".
Peu importe à qui ça plait, à qui ça ne plait pas...
Signaler RépondreCe que je vois c'est qu'il s'agit là d'enfants, chaque enfant de France, blanc noir bronzé ou autre a droit à l' ECOLE. J'aime imaginer que tous ces auteurs à la critique facile auraient pu naitre dans une de ces familles... dans votre prochaine vie peut etre ?
Si cela peut permettre au socialistes locaux au nom des bons sentiments de grapiller un peu d'argent public...
Signaler Répondreon ne peut plus accepter la misère du monde les socialiste se serve des pauvre pour leur electora on et plus cher nous l'Europe la bétise humaine
Signaler RépondreEcole ou pas nous demandons qu ils partent au plus vite. Et quand je dis "nous" je parle au nom de toutes les entreprise alentour du camps de rom qui se sont fais vandaliser par les cher ami de mme gilberte renard qui ne pourrais malgrer ses interventions supporter se que ses proteger nous inflige.
Signaler RépondreQuand les parents ramènent des gosses avec poux, on les somme des prendre des dispositions. Quand les gosses ont des difficultés en orthographes, les parents sont tenus de rectifier le tir... mais par contre, des enfants quasi illettrés, dans des vêtements pas toujours lavés, d'une hygiène douteuse liée à une vie dans un bidonville, eux, on doit les accepter sans sourcilier ?
Signaler RépondreMarre qu'une tranche de la population ait des passe-droit, et que ce soit toujours les mêmes qui doivent se plier aux devoirs. Quand ces gosses seront un minimum propre, qu'il parleront un minimum français, on les prendra dans nos classes !!!
ils arrivent en aout, sans se soucier qu'ils ont des enfants qu'il fallait inscrire depuis avril mai , une solution provisoire humanitaire est trouvée en novembre afin d'empecher ses enfants ^'être utilisés comme petits mendiants et délinquants par leur famille, en attendant qu'ils disparaissent en une nuit vers d'autres cieux cléments et voilà nos bonnes âmes en émoi, la Republique on y des droits et des devoirs aussi, l'effectif d'une classe le nombre d'enfants à la cantine se prévoit longtemps à l'avance..que ce réseau explique un peu les contraintes de la République qui donnent des droits à ces gens
Signaler RépondrePourquoi?
Signaler RépondreCes gens ne s'investissent pas, ne s'intègrent pas, ils vont et viennent au grès des récoltes pour capter ce qui passe à leur porter. Quelqu'un peut-il affirmer le contraire?