Face à l'arrivée de militants anarchistes, les forces de l'ordre ont dû
faire usage de leurs matraques et de gaz lacrymogènes. Les pompiers ont
pris en charge un bébé d'une semaine seulement ainsi qu'un autre enfant
et une femme d'une quarantaine d'années, incommodés par les gaz.
Selon Albert Doutre, directeur département de la Sécurité Publique,
l'intervention s'est faite dans les règles. "Une trentaine de personnes a
tenté de faire obstruction en entravant la circulation sur le quai
Perrache et en s'opposant violemment à l'action légitime des forces de
l'ordre, explique le patron de la DDSP. Cette trentaine de troublions
(sic) composée uniquement de militants anarchistes a été repoussée avec
l'emploi de moyen individuel de gaz lacrymogène. Ces gaz se sont
propagés dans le périmètre incommodant légèrement les personnes
demeurées à proximité du site dont des membres de familles issues de la
communauté Roms introduites dans les locaux par les anarchistes
illicitement implantés".
A noter que deux personnes ont été ensuite interpellées dans la station
de tramway perrache pour "des faits d'injures, de crachat, d'outrage et
de rébellion à l'encontre des effectifs policiers présent sur le site".
Relayée par les médias nationaux, cette expulsion a été également
fustigée par le Mrap et par Armand Creus, conseiller régional Front de
Gauche. Ce dernier a évoqué des "atteintes aux droits humains
fondamentaux".
Alors pour info j'y étais et une petite rectification s'impose : y'avait des militants de tous bords, d'aucun aussi, des anar' (non déclarés), y'avait des roms, y'avait des gens touchés par le sort de ces familles et qui n'étaient là ni pour des raisons politiques, ni pour casser du flic. Il n'y a pas eu l'arrivée de militants, il y a eu l'arrivée de forces autoritaires et répressives devant une grande maison où vivaient des familles et devant laquelle veillaient des personnes solidaires. Les flics n'ont pas gazé parce qu'on était violent, ils ont gazés pour passer et pouvoir défoncer la porte. Point.
Signaler RépondrePs : quand deux personnes se font arrêter dans une station de tramway sans brassart et pour crachats et injures, c'est l'aveu même d'une certaine honte et du fait que personne n'a réellement agressé un policier. Par contre, nous avons également subis une garde à vue provisoire sauvage sur le trottoire : tu passes ce périmètre, tu dois rester 5 heures, sans réponse à tes questions (légales) et même si tu passais là par hasard.
et si vous saviez, vous ?tes loin d imaginer le reste. c que la partie visible de l iceberg
Signaler RépondrePas facile à lire votre prose !!!!!
Signaler RépondreDoutre est un menteur d'autant que les force du desordre ont agis de maniere demeusuree et profere des insultes menaces de mort ect doutre et son comiqariat sont des ripoux la preuve avec l'arestation du tramway qui s'est faite avec violence et sans brasards pourtant obligatoire... l igpn a etee saisie et les cameras de la station récupére pour les restityer a l'ugpn et igs... bien a vous messieux les ripoux et ke journaliste complice
Signaler RépondreEt le Carencco , il était où ?
Signaler Répondreil a pas expulsé des éléphants ?
Signaler RépondreComment le prefet justifie il le fait de ne pas respecter la loi ? Est il anarchiste lui aussi ?
Signaler RépondreLes faits sont la :
La Loi interdit ce type d'expulsion pendant la treve hivernale ,le prefet le sait parfaitement ,et passer sciemment outre fait de lui un delinquant .. .
Albert c est faux les gens qui étaient sur le quai n'étaient pas des anars mais des roms .
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