Ils sont maintenant dans des lieux religieux ou dans des campings autour de Lyon. La solution, encore une fois provisoire, devrait durer 15 jours. Les migrants venant de Serbie, du Kosovo ou encore de Roumanie, avaient été expulsés en avril dernier d’un bâtiment de l’armée, qu’ils squattaient depuis 2013, boulevard Yves-Farges dans le 7e arrondissement de Lyon. Durant quelques nuits, le père Bruno-Marie Duffé, en charge de la thématique «Famille et société» au diocèse de Lyon, les avaient accueillis dans un gymnase de l’école des Maristes. Le père avait ensuite loué un local de 350 m2 à Décines, pendant de 45 jours.
Des militants d’associations comme CLASSES, LDH ou Jamais sans toit, ont appelé à un rassemblement jeudi à 18h30 devant la préfecture du Rhône pour demander un rendez-vous avec le préfet. Mais parmi les migrants, plus de la moitié d’entre eux sont visés par une obligation de quitter le territoire français.
la moitié sont sanctionné par une obligation de sortie du territoire...
Signaler Répondrepourquoi ne pas les renvoyer chez eux lors de cette expulsion?
si je comprend bien, si je ne respecte pas la loi, je ne suis pas obliger d executer la sanction...
c est bon a savoir pour les prochains paiements des impots, des amendes, .....
belle jurisprudence que voila!!
bientot, nous fermerons les yeux sur la GPA a l etranger, et n appliquerons pas la loi...
ah zut.. c est deja le cas!!!
Surtout que d'autres vont arriver :
Signaler Répondre4 200 clandestins ont été débarqués vendredi sur les côtes italiennes
C'est une mesure administrative qui est du ressort du Préfet ( Ministère Intérieur) et non de la Justice. La question est
Signaler Répondrequ'attend le Préfet pour organiser le retour de ces clandestins ?
on a plus les moyens de donner tant d'argents à tous ces gens
Signaler RépondreEt pour le camp de Vaulx la Soie ? quand aura lieu l'expulsion !!!
Signaler RépondreLe mieux est qu'ils retournent chez eux. En France il n'y a d'avenir pour eux.
Signaler RépondreMas tu vu nous avons assez de nourrir des fénéants, plus belle la vie pour ces gens là. Quand je pense aux français qui ne peuvent pas joindre les deux bouts.
Signaler Répondre"La moitié d'entre eux sont visés par une obligation de quitter le territoire", en toute logique il ne faut donc trouver une solution que pour la moitié de ces "migrants"...
Signaler Répondreretour au pays direct!
Signaler RépondreL'OQTF est parti en vacances... pour plus d'informations... contactez... bah, y a quelqu'un au Ministère de la Justice?
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