Cette dernière dénonçait les agissements d'un militaire, sous-officier qui commandait la brigade de Beaujeu. Selon le Progrès, l'homme de 47 ans multipliait les remarques salaces et les contacts physiques avec ses collègues féminines. Une enquête interne fut lancée et le gendarme était suspendu en février avant d'être placé récemment en garde à vue.
Jugé cette semaine, le sous-officier a reconnu avoir un comportement parfois lourd mais se défend d'avoir harcelé ses collègues. Cinq gendarmes, dont quatre femmes, s'étaient portés partie civile. La justice a décidé de condamner l'homme à un an de prison avec sursis et de l'interdire définitivement d'exercer dans la fonction publique.
L'ex-gendarme pourrait faire appel de sa condamnation.
Des dérives dans les comportements, particulièrement du fait que le pouvoir hiérarchique permet d’exercer des contraintes, peuvent mener à du harcèlement sexuel : cet abus d’autorité, concrétisé par des menaces sur les conditions de travail, des actes de chantage à la promotion ou au licenciement, pour obtenir des faveurs sexuelles, relève clairement de harcèlement ; mais des attitudes fréquentes plus discrètes, non sollicitées en relèvent également ... : remarques sur l’apparence physique (corps, coiffure, tenue vestimentaire, maquillage), propos ou questions d’ordre intime, concernant la vie ou les pratiques sexuelles, présentation de textes, photos, vidéos pornographiques, malgré les marques de désintérêt, sifflements, gestes ou commentaires grossiers ou obscènes, regards, clins d’œil, concupiscents ou libidineux, contacts corporels fréquents non désirés, mais mineurs : frôlements, effleurements des mains, des bras, des cheveux, du visage, des genoux, des pieds …
Signaler Répondresource : La prévention du harcèlement sexuel au travail : http://www.officiel-prevention.com/protections-collectives-organisation-ergonomie/psychologie-du-travail/detail_dossier_CHSCT.php?rub=38&ssrub=163&dossid=394
Ce qui se conçoit bien , s'énonce clairement (BUFFON)
Signaler RépondreJ'ai un collègue homme subalterne une fois qui s'est plaint à ma chef, parce que je lui faisait des blagues salasses, alors j'en profite pour dire, que pour qu'il y'est harcèlement il faut que celui qui harcèle, veuille au moins sexuellement le harcelé...
Signaler RépondreY'a des fous dans cette ville, dire qu'il s'est fait jeté, alors que je le formais pour reprendre ma place dans le mois qui suivait...
bien fait !
Signaler RépondreD'habitude...quand un gendarme rit dans la gendarmerie tous les gendarmes rient dans la gendarmerie...
Signaler Répondremais là çà rigole plus !
Ok, mais il faut comprendre que ce gendarme est, entre autre, chargé de lutter contre ce type de violences d'où l'aggravation de la peine. Comme représentant de la Loi, il se devait d'avoir un comportement irréprochable.
Signaler RépondreEt bah ils ont pas été cool contrairement à une gérant d'une pizzeria du 5ème qui a eu un rappel à la loi pour agression sexuelle ce qui est autre que quelques remarques désagréables quand même !! Parfois on se demande comment bosse la justice c'est du grand n'importe quoi
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