Les perquisitions menées par l’antigang avaient permis de mettre la main sur des armes à feu, 200 000 euros en liquide et cinq véhicules. De plus, le principal suspect avait acheté l’ancienne maison du joueur de l’OL Michel Bastos, à Ecully.
Il y a quelques semaines, des avocats avaient mis en lumière un supposé problème dans la procédure des policiers lyonnais. La première version du procès-verbal de perquisition n’avait pas été signée par le locataire alors qu’un deuxième exemplaire comprenait une signature non conforme.
Mais depuis, selon des informations du Progrès, la cour d’appel de Lyon a validé la saisie. Pour la chambre de l’instruction, le PV n’était qu’un document de travail, n’impactant pas la procédure. Les dealers présumés interpellés seront donc bien jugés.
Il est très étonnant que ce type sans aucun revenu officiel ait pu acheter la propriete de Bastos a Ecully a un prix très important . TRACFÎN doit enquêter et l'agent immobilier et le notaire seront au plus mal !
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