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Tout est consultable sur leur site.
Il s’agit de chiffres nationaux dont nous extrayons le détail de quelques lycées généraux et technologiques de la Métropole de Lyon (les résultats des Lycées Professionnels sont disponibles à l’adresse ci-dessus).
Pas de surprise dans la production de cette année. Les Lycées privés de la Métropole sont tous aux alentours de 100% de réussite au bac avec des taux de mention de leurs élèves (de mention "assez bien" à "très bien") autour et au-dessus de 80%. Les Lycées publics sont beaucoup plus bas (à l’exception de la Cité Scolaire Internationale dont le profil a l’air assez éloigné d’un lycée public) si l’on se réfère à ces deux indicateurs.
Les chiffres du ministère sont en fait surtout célèbres à cause de l’indicateur de "valeur ajoutée" qu’un lycée est censé apporter à ses élèves. Nous publions la moyenne de cet indicateur de 2013 à 2018 en dernière colonne pour chacun des lycées de notre classement. Si les élèves d’un lycée sont jugés favorisés (bons résultats au Diplôme National du Brevet, parents aisés, pas de redoublants, beaucoup de filles) ce lycée devra avoir des résultats encore plus positifs que de bons résultats pour avoir une "valeur ajoutée du taux de réussite" positif.
La consultation de chiffres de cette colonne montre cependant que cet indicateur ne fonctionne pas très bien. Seuls les lycées privés ont des résultats positifs, les lycées publics étant abonnés aux résultats négatifs. Ce qui voudrait dire que les lycées publics sont incapables de faire autre chose que de dégrader le niveau des élèves qu’ils reçoivent. Mais pourquoi feraient-ils une chose pareille ? Le rectorat de l’académie de Lyon avoue n’en avoir aucune idée.
Heureusement qu il y a la réforme du bac!!! Pour augmenter le taux de réussite, quoi de mieux que de faire un bac par établissement grâce au contrôle continue !!!!!
Signaler RépondreLe bac ne vaudra plus rien, ça va encore augmenter la discrimination et la réussite républicaine n existera plus
Mais il paraît que c est le progres
Encore une grille d'analyse qui n'apporte rien. Il faudrait plutôt répartir la plus-value en fonction du revenu des parents et des CSP, le classement établi serait plus instructif. Une étude statistique par secteur géographique donnerait aussi des éléments de prévision pour les politiques à mener dans le futur.
Signaler RépondreLa gauche a tué la fonction publique et même l’armee . Le privé a gagné ,même si, vous ne voulez pas le reconnaître,c’est une réalité. Après , chacun vie sa vie et libre de croire aux chimères à la licorne. J’ai été engagé jeune dans les forces spéciales,mais aujourd’hui je n’ai pas honte de dire que j’ai Honte de ce que le pays est Devenu. Je suis tellement déçu,qu’en cas de conflit je quitterai ce pays de traîtres . Avec le recul ,je comprends mieux les mercenaires,eux se battent pour de l’argent , la patrie , c’est finit,
Signaler RépondreVous vous trompez de cible : ce n'est pas un problème de financement ou d'argent
Signaler RépondreLe problème c'est cette fraction minoritaire des élèves boulets qui plombent tous les autres
Si le public les évacue comme le fait le privé, le problème est réglé
Après il faut trouver quoi en faire jusqu'à 16 ans... avant il y avait des classes d'attente qu'on appelait CPPN.
C'était des classes poubelles qui avaient le mérite de faire une grosse purge dès la 4ème. Les élèves chiants en avaient tellement peur qu'ils se mettaient à travailler pour la plupart. Et les autres, ben tant pis pour eux
M'en rappelle très très bien
Mais bon est ce qu'on est encore capable de prendre des décisions aussi directes aujourd'hui ?
Pas sûr
Il ne s'agit pas détruite ce qui a vos yeux fonctionne, mais simplement de faire financer ce qui est privé par le privé
Signaler RépondreDétruire ce qui fonctionne bien ne sera jamais la bonne solution.
Signaler RépondreMerci d'étayer la démonstration, les moyens alloués pour payer les profs du privés pourraient largement permettre de remplacer les profs du public que vous estimez voir en maladie la moitié de l'année
Signaler RépondreL'école accessible pour tous, en France. On n'est pas aux US.
Signaler RépondreDonc profs habilités avec diplômes d'état, payés par l'état, dans le public comme dans le privé.
Tiens, et si certains profs du public arrêtaient de se mettre en maladie la moitié de l'année scolaire, ça aiderait à réhausser le niveau? le genre de blague qu'on ne peut pas se permettre dans le privé.
Sortons les stats de dépression pour les profs du public comparés à la moyenne nationale toutes professions confondues... pour voir si ça colle ou alors...
Non non vous vous trompez
Signaler RépondreAtteindre les objectifs n'est pas une question d'argent
Il faut baisser le niveau et là tout ira bien vous verrez
On a commencé en 81, pas de raison de s'arrêter en si bon chemin
Mais quel sujet génial
Signaler RépondreTous les gens qui en ont les moyens retirent leurs enfants du public et les premiers à le faire sont les élus et notamment les socialistes
Pourquoi ?
Allez, ayons le courage de le dire : le public est un dépotoir mis à part quelques rares exceptions comme le Lycée du Parc.
S'y retrouvent tous les cas soc dont personne ne veut, lesquels font plonger l'ensemble, y compris les gamins les plus motivés
Alors quoi ? On aura le courage un jour de le dire et de sortir les boulets au lieu de planter tout le monde ?
Mais noooooooooon voyons, c'est pas FRA TER NEL
Quelle connerie incroyable
Bien sûr mais à ce moment là arrêtons de payer sur le budget de l'éducation nationale les profs du privés.
Signaler RépondreCes moyens redistribués permettront au public d'atteindre les objectifs
Le public ? Vous êtes le maillons faibles , au revoir..... le public a échoué, par laxisme , lâcheté et différence entre élèves . Vive le privé .
Signaler RépondreSavez vous au moins que la Carsat, c’est privé ? Sous Réserves de l’etat . Maintenant vous le saurez..
Signaler RépondreVous le saurez bientôt . Votre retraite est de moitiés sécurité sociales et de l’autre caisses complémentaires privées, et oui. Et ,la complémentaire vous laisse partir à 62 ans aujourd’hui en vous levant 10;100 de votre retraite. Le saviez vous au moins? Il vous sont restituer à 65ans ou alors vous partez à 63 ans sans décotes,c’est à vous de voir. C’est déjà en place , depuis fin 2018 pour ceux qui partiront cette année. Et pour le reste , ses sera normalement le rabotage ou la fin des pensions de réversions et les 65 ans pour tous ,sa viendra je vous le garantis.
Signaler RépondreLe privé sélectionne en seconde et en première pour ne garder que les meilleurs. Facile après d'avoir 100%. Sans oublier les parents qui ont les moyens pour du soutien scolaire.
Signaler RépondreIl faut plus de moyen dans le public.
Il faut arrêter de subventionner une école privé à la limite du Laïc.
"...même les retraites"
Signaler RépondrePour autant pouvez vous nous citer la liste des fonds de retraites publiques qui ont coulés, en regards des fonds privés qui ont fait faillite?
Idem. Il est normal de vouloir le meilleur pour son enfant, plutôt qu'un nivellement par le bas, voire des problèmes de délinquance. En le confiant à une bonne école privée, il est entre de bonnes mains.
Signaler RépondreQuant au fait de pouvoir virer un élève à problème, c'est juste normal et souhaitable.
Le public a perdus, ses enfants d’une république ancienne mais qui était nationale et non mondialiste. Les parents préfèrent le privé pour leurs enfants et c’est bien normal. Toutes nos institutions sont à repenser ou disparaîtront les unes après les autres pour le privé qui a déjà gagné pratiquement sur tout,même les retraites.
Signaler RépondreFaux, l'ensemble des frais de fonctionnement sont pris en charge par les collectivités locales, pour un lycée, la région (via un forfait correspondant à ce qui est versé pour le public ...).
Signaler RépondreIl ne reste donc que l’investissement, subventionné par les collectivités locales également, et parfois les garanties d'emprunt ...
Quand on ne sais pas ....
Moi je mélange pas mes enfants avec les cas sociaux ! Oui je sais, je m’achète une tranquillité depuis des années et je n’ai aucun problème avec ça. La tranquillité n’a pas de prix. Mes enfants sont bien encadrés et n’ont pas des profs absent à tout bout de champ.
Signaler RépondreUn lycée privé peut refuser ou virer un élève. Un lycée public à l'obligation d'accepter tout élève de son secteur et ne peut en virer un qu'en leur trouvant une place dans un autre lycée public. Cela explique tout.
Signaler RépondreFaux: on ne parle pas de "boîtes à bac" mais de lycées privés. Le coût de l'inscription est variable suivant les revenus des parents, ce n'est pas élitiste par le fric. Je suis bien placé pour le savoir. Les profs sont payés par l'état, normal, comme dans le public. Les autres frais ne sont pas à charge de l'état donc, contrairement à vos dires, bien plus difficiles à supporter pour l'établissement, dans le privé.
Signaler Répondreun futur rempli de crétins
Signaler Répondrec'est un projet mondial
Les lycées privés sélectionne sur le critère de l'argent mais aussi de la présence parentale. La plupart des professeurs sont payés par l'état donc tout l'argent est mis dans le reste.
Signaler RépondreAlors que dans les lycées publics, il faut suivre les règles fixées par l'état, c'est à dire plus d'élèves mois d'heures de cours, moins de surveillants.... bref tout pour que ça pète mais bon si le rectorat ne comprend pas avec le nombre de lycée/collège en grève ... le nombre de burn-out qui grimpe au plafonsd, d'actes de violences ..... alors tout va bien ... pas de vagues
Pour avoir connu les deux: dans un lycée privé l'élève est bien suivi, dans le public il est bien plus livré à lui-même et donc en perdition si il n'est pas très bon.
Signaler RépondreAjoutons aussi que les lycées privés sont, en général, bien tenus (discipline, rigueur).
Et, même si certains vont grincer des dents; dans un lycée situé à côté d'une cité difficile, c'est dur pour les profs, et dur aussi... pour les élèves à profil minoritaire, c'est à dire non issus de l'immigration.
C’est normal, dans le pays des LAPINS CRETINS.
Signaler Répondrela fabrique à crétins s'accélère
Signaler RépondreComme l'avait si bien dit le proviseur du fameux lycée Henry IV de Paris, j'ai bien moins de mérite à faire réussir d'excellents élèves que mes collègues de banlieues qui font réussir des public plus difficile
Signaler RépondreCertains oui... d'autres au contraire sont très ouverts...
Signaler Répondrec''est peut être aussi que les lycées publics sont gangrenés par la délinquance, le laxisme éducatif parental, et de nombreux élèves en mode touriste ?
Signaler RépondreC,est peut-être que les lycées privés ne gardent pas les enfants moyens ou en difficulté à l’inverse des lycées publics
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