Il s'agit d'une jeune femme de 22 ans, qui avait été violée par Romain Farina en 2003, à l'âge de 6 ans, dans une école primaire de Vénissieux.
Pour rappel, la justice a rendu lundi une ordonnance de non-lieu en raison de l'extinction de l'action publique, tout en reconnaissant l'existence de 46 victimes d'agressions sexuelles et de viols.
Romain Farina, directeur d'une école de Villefontaine, avait été mis en examen en mars 2015 pour avoir abusé plusieurs dizaines d'enfants, au cours de sa carrière, dans des écoles de Vénissieux ou encore de Villefontaine. Il le faisait durant les heures de classe, derrière un rideau, et se filmait même parfois durant ses actes odieux. Malgré le suicide de l'instituteur vénissian en 2016 à la prison de Corbas, les enquêteurs avaient découvert plus de 500 000 photos et 11 000 vidéos à caractère pédopornographique, permettant, pour certaines, d'identifier les petites victimes.
Comment ?
Signaler RépondreUne personne ose rouvrir ce dossier bien gênant pour l'Education Nationale ?
Quel facho...
Courage à cette victime.
Espérons que de nombreuses personnes l'imiteront.
L'EN n'est pas intouchable !
Surtout que ce n'est pas exceptionnel dans le milieu éducatif...
Signaler RépondreUne victime hommes femmes SURTOUTS ENFANTS LE PROCÈS EST IMPORTANT DA S TÊTE C A N EST PAS DE SA FAUTE POUR L ADULTES IL FAUT QU IL SE RECONSTRUISE AVEC SE passé sui passe en boucle il faut une condamnation afin que toutes les victimes du 69+ 38 puissent se reconstruire se sont de très GRAVES BLESSURES D ENFANCES qu ils ont subis
Signaler RépondreIl est mort,pourquoi persister à faire appel ? Le doit d'innocence s'applique en cas de décès d'un individu ....
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