"Un salaire net à 10 euros de l'heure" : c'est une des principales revendications émises par les livreurs en colère. Ludovic, livreur Deliveroo déclare "vouloir être payé en fonction des heures de travail et pas à la tâche tel qu'existant aujourd'hui".
Autre front de bataille, la sécurité : "on veut une couverture médicale plus importante et la prise en compte de la pénibilité du travail et de ses dangers".
Bilel, livreur Uber Eats, raconte ses douleurs aux genoux et sa peur de la circulation : "après mon premier jour de travail, j'ai craqué psychologiquement à cause de la pression et de la peur". Il continu : "s'il m'arrive quelque chose, je ne sais pas si je pourrais accéder à tous les soins nécessaires".
Les représentants du groupe protestataire devraient rencontrer les dirigeants d'Uber Lyon cette après-midi.
Et des millions de clients esclavagistes qui vont commander de la mal-bouffe et se la faire livrer à domicile
Signaler RépondreLes actionnaires d'Uber doit bien se marrer en voyant cette grève de petit merdeuse de 20 ans dont les syndicats complices du grand capital en retourner la tête sachez qu'il s'en bat les couilles de votre mes rêves ils ont des milliards d'esclave jeune et dynamique dans le monde pour faire le boulot
Signaler Répondreje taperai sur le clavier de mon ordinateur mes souhaits culinaires.
Signaler RépondreBig-Brother vérifiera le contenu de mon frigo. et mon armoire à produits lyophilisés
M'enverra une recette de cuisine simplifiée d'un plat ressemblant vaguement à ce qui ressemble le plus à mes désirs.
Et en 30 secondes je me préparerais le plat (chimique) tant attendu, sans rien devoir à personne.
Commencez à imaginer ce que pourrait donner cette situation dans un monde postmonétaire.
Signaler Répondreça changera de vos habituelles luttes sans fin pour piquer le fric de l'autre.
:)
Les loosers seront toujours des assistés et ça c’est une vérité qui dérange.
Signaler Répondreoui c'est ça ils n'ont qu'à traverser la rue pour trouver un job...
Signaler RépondreToi tu as Free. Tu as tout compris au système crasseux des politiciens et syndicats qui mangent tous à la même gamelle.
Signaler RépondreMise au points :
Signaler RépondreCes livreurs ont librement choisit ce partenariat avec ces esclavagistes ?
Pourquoi des êtres humains, participent à cet esclavage en commandant de la bouffe de merde ?
Pourquoi des mollusques ont-ils donner le pouvoir en mai 2017 a un ultra, ultra libéral ???
Hey les gars, a un moment va falloir que vous vous posiez les bonnes questions, avant d'aller chercher ailleurs les causes et surtout les responsables !!
Irresponsables vous êtes irresponsables vous resterez !
La preuve avec ce mouvement organisé par un syndicat qui a appelé a voter macron !!!
ptdr
ils n'ont qu'à travailler pour une boite qui leur verse un salaire soumis à cotisations !
Signaler RépondrePour le reste ils le savaient avant qu'ils piquaient la place d'autres salariés, donc arrêtez de vous plaindre maintenant !!
Qui paiera les accidentés de la route sur les vélos ou les scooters qui dévalent comme des bombes alors rien ne change pour Uber qui ne paye rien en France par contre quand un uber Eats tombe et se casse la jambe c’est nous tous qui payons les frais médicaux de ses voyous 2.0 . Stop à l’uberisation ou l’état ne contrôle plus rien ils ont même réussis à remettre le travail d’enfants exploités par un plus grand que lui qui partage à 50/50 pareil pour les sans papiers qui sont une valeur marchande proche du Bangladesh
Signaler RépondreJe foward au Révérend Père Siffleur ça lui fera son sermon de dimanche prochain ! o:)
Signaler RépondreUbérisation... pour payer moins cher... encore le fric...
Signaler Répondrerisques pour aller plus vite... pour gagner plus de fric ou en perdre moins...
c'est beau une société qui utilise ce formidable outil pour se taper dessus :o)
Putin même eux ont réussi à se faire monter la tête par des syndicats franchement bravo la CGT vous êtes trop fort pour retourner les têtes à des gamin de 20 ans super vous allez être aller très loin comme ça qu'est-ce qu'il s'en bat les couilles votre grève et revendications uber
Signaler RépondreTrouveront toujours des pigeons pour faire le boulot car ils sont en mèche avec les syndicats vous avez rien compris réveillez-vous putin
le rapport c'est la loi. Si le gouvernement autorise le travail à la tâche alors il favorise "l'uberisation" de la société.
Signaler RépondreLe gouvernement peut le faire soit par ordonnances ou par vote du parlement via une loi (exemple loi El Khomri la mal nommée car initiée par Macron et sa clique).
A ce jour il me semble que le président est LREM et le parlement à majorité LREM / MODEM (bas débit!)
Ne vous en déplaise, c’est bien un retour en arrière avec ses coutumes moyenâgeuses que vous vivez actuellement.
Signaler RépondreC'est un aspect honteux de la vie moderne. Honte sur les clients de ces rescapés d'une autre époque révolue. Lyon resemble de plus en plus à une ville asiatique bondée de pousse-pousses. Quand un service de palanquin pour transporter les gens aisés au-dessus les crottes de chiens qui constellent les trottoirs de Lyon ? Coming soon, sans doute.
Signaler RépondreTout à fait , ils ont choisit leurs exploiteurs et cet emploi de sous fifre . Ils n’ont cas changé de métiers .
Signaler Répondre"Contre l'exploitation" : l'exploitation, ils l'ont choisi eux même en choisissant un travail dont tout le monde connait le fonctionnement. Payés à l'heure? Les livreurs passent beaucoup de temps à attendre les commandes, aucune chance que quelqu'un décide de les payer pour glander. C'est, pour beaucoup de gens en difficulté financière et notamment des étudiants, un bon moyen de mettre du beurre dans les épinards mais pas un vrai travail en soit. Il existe plein de "vraies" boites de livraison à vélo s'ils veulent de bonnes conditions de travail !!! Bientôt les "juicers" de Lime vont demander des estafettes de fonction, vous verrez!! :'D
Signaler RépondreC’est le progressisme qui n’est autre que satanique.
Signaler Répondreune seule solution : demander les casiers judiciaires vierges des chauffeurs, et sélectionner après des entretiens d'embauches sérieux
Signaler RépondreMais quel rapport entre un parti politique, LREM ou autres, et l'ubérisation rampante de la société qui est un mouvement de fond à échelle mondiale ?
Signaler Répondretout à fait et les clients de ces tacherons voteront tel des robots pour LREM parce qu'ils ne veulent que rien ne change.
Signaler RépondreEn marche vers le chaos!
Les tacherons (payer à la tache) du bâtiment d’autrefois ont été interdit par le code du travail, maintenant ont a les auto-entrepreneur qui ne sont ni plus ni moins que les tacherons d’autrefois. Interdisons cet esclavagisme 2.0
Signaler RépondreLe gars qui craque au bout d'un jour, je me pose la question de savoir ce que ce sera après 10 années d'activité professionnelle quelle qu'elle soit....
Signaler RépondreCelle comme pleins d’autre. Apres ca regarde les gens et leur conscience de voir un esclave a velo leur livrer leur repas alors que dans lyon ils sont sûrement a 5min d’une solution resto/épicerie/
Signaler RépondreLe pot de terre contre le pot de fer
Signaler RépondreLa bataille est perdu d avance comme dans tous les pays du monde ou uber et son droit à la traite humaine avec la bénédiction de nos politiques . Ne travaillez pas pour ces voleurs est la meilleure solution pour vous tous car vous allez souffrir !!!!!!!
Sauf que... c'est l'offre et la demande qui gouvernent le système
Signaler RépondreEt il y aura toujours des gens pour aller au moins cher, d'où le système Uber (et autres)
Le boycott ne sert à rien
C'est le réglementation des états qui doit agir
Pas gagné
Boycottons cette enseigne.
Signaler RépondreTrouvez-vous un travail plus stable, un employeur fiable, respectueux de ses salariés.
Arrêtez de faire marcher l'économie Macron/Attali/cie
Vive la précarité, vive les bas salaires, vive la pénibilité … ok !! Mais qui payera ma retraite ?!
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