Les faits remontent au 4 mars dernier. Le PDG du quotidien avait été interpellé à son domicile de Tassin, près de Lyon, alors qu'il se trouvait en état d'ébriété. Sa compagne l'accusait de lui avoir mis une gifle. Lors de l'intervention des gendarmes, Christophe Tostain avait fait valoir sa qualité professionnelle, menaçant les forces de l'ordre d’utiliser son réseau pour les mettre en difficulté.
Après une nuit en cellule de dégrisement, il avait retrouvé la raison, présentant ses excuses aux militaires qu’il avait menacé de faire muter grâce à ses prétendues relations.
Pour ces faits, le Parquet a requis 9 mois d’emprisonnement avec sursis ainsi que 5000 euros d’amende. Le jugement est attendu le 2 mai.
Il est déplorable que le moindre fait de délinquance ou d incivilité fasse les gros titres de son encore plus déplorable canard...avec nom et prénom des mises en causes et que par un grand courage éditorialiste son même torchon ne fasse aucune mention des actes répréhensible de son PDG....!!!!
Signaler RépondreSi on comprend bien, pour ce Môôôôôsieur, de la presse écrite, le fait d'avoir ses...réseaux lui donnerai le pouvoir de faire muter des agents de la force publique.
Signaler RépondreJe ne savais pas qu'être le patron (minuscule) d'un quotidien subventionné vous donnait en plus le droit de pratiquer des mesures de coercitions policières.
Ah les Grandes Familles (en majuscules) c'est quelque chose...
En fait, si on comprend bien il ne sera pas condamné pour la gifle mais pour ses mots face aux policiers. Le titre est donc passablement faux.
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