Réuni en petit comité dans un café du septième arrondissement de Lyon, L.O. donnait le coup d'envoi de sa campagne en région. L'occasion de faire la connaissance des sept représentants communistes de l'ex Rhône-Alpes.
Entre les nombreux thèmes abordés, ceux des gilets jaunes et des travailleurs sont revenus à plusieurs reprises. "Les gilets jaunes sont des travailleurs, …, les travailleurs sont ceux qui vont tout changer", déclare Olivier Minoux, candidat du Rhône. Cette déclaration est cohérente avec le leitmotiv de la campagne : "contre le grand capital, le camp des travailleurs". Voteront-ils pour eux ?
"Les élections sont une tribune"
Le parti voit ces élections européennes comme un prisme pour faire passer un message. "Nous n'avons pas d'objectif électoral, on veut faire le plus possible. Ces élections sont une tribune ". L'enjeu n'est donc pas une victoire, mais un gain de popularité. LO veut fournir une solution politique aux revendications qui émanent des mouvements sociaux de ces derniers mois.
Chantal Gomez est la femme politique le plus connue des noms présentés ce lundi. Elle déclare : "On se présente car c'est un combat, les gens s'ouvrent à la politique". La candidate iséroise voit donc une chance d'intéresser les Français au programme de son parti.
Le discours inchangé du parti depuis sa création s'applique pour les élections européennes de mai 2019. Si les candidats de la liste sont conscients qu'ils ne gagneront pas, ils disent "continuer le combat".
Les roses sont rouges, les communistes sont communistes. Un même discours, des mêmes convictions avec lesquelles le parti espère convaincre un jour.
Et une fois au pouvoir que feront ils et bien très simple !!!
Signaler Répondre1 : soutiens des communistes
2 : Approbations des socialistes
3 soutiens au non travailleurs
4: retour des ordres de Moscou
5: appui de Mélenchon pour son soutien et surtout pour lui
Bref rien de nouveau avec ses utopistes !!!!
Cordialement
Le problème ? C’est qu’il n’y a Plus d’USINE , ou si peu que les ouvriers sont en voie de disparition. Et le peu qu’il reste parle à peine le français .
Signaler Répondrevite vite il faut faire un commentaire sur un commentaire en apportant des arguments très développés comme vous le faites... :o)
Signaler Répondrevite vite... il faut commenter
Signaler Répondres'il y a de la misère :
Signaler Répondre"C'est la faute aux patrons" disent les "rouges"
"C'est la faute aux fainéants/parasites" disent les "bleus"
et les postmonétaires disent que s'il y a de la misère, c'est inhérent aux systèmes monétaires car la monnaie sera toujours autant un système d'échange que d'exclusion (exclusion = misère).
Bonne guerre pour le fric à tous ! :o)