Dès le franchissement des portes de la Halle Debourg abandonné, le regard des visiteurs se dirige vers le haut. Les murs sont recouverts dans leur totalité d'immenses œuvres des 68 artistes venus de tous les continents.
Les couleurs des différentes peintures murales viennent contraster avec la noirceur des lieux. Au milieu de la salle, des ateliers sont proposés permettant de jouer avec la réalité virtuelle et augmentée.
Au sous-sol, la salle "Urbex" propose des mises en scènes artistiques. Le "Peinture Fraîche Festival" permet un voyage à travers le monde à l'aide de ce prisme qu'est le street-art.
"Faire se rencontrer des artistes aux cultures différentes"
L'un des objectifs de Cart'1, le directeur artistique du festival, est de "faire se rencontrer des artistes aux cultures différentes". "Trente-quatre graffers lyonnais vont pouvoir découvrir d'autres façons de travailler, c'est important que les artistes locaux puissent profiter de l'événement", poursuit-il.
Les œuvres de ces nombreux street-artistes sont à découvrir jusqu'au dimanche 12 mai dans la Halle Debourg.
Denis tu es un gros beauf....
Signaler RépondreNon il appelle "bobo" tout ce qui n'est pas comme lui et qui ne s’intéresse pas au même choses que lui
Signaler RépondreVous appelez "bobo" les gens qui s'intéressent à la création picturale ?
Signaler RépondreTu as bien raison, ça va beaucoup nous amuser. Retourne au PMU jouer et boire ton RSA...
Signaler RépondreVoila ce qui va amuser les bobos ce week-end.
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