Il était accusé par son ex-patron de racket, à raison de 500 euros réclamés par mois.
Le gérant d’un snack de l'Ouest lyonnais a attendu d’avoir payé 3500 euros et de se retrouver dans une situation financière compliquée pour porter plainte et entraîner l’interpellation de son ancien salarié.
A la barre, le trentenaire s’est justifié. Il a expliqué avoir passé un accord initial avec le gérant du snack : ce dernier devait le faire travailler au black. Sauf qu’au bout d’un certain temps, il avait décidé de le déclarer sans lui dire. Prévenue, la CAF avait alors annulé tous les revenus solidaires du prévenu et lui réclamait le remboursement de 4600 euros. D’où le racket pour compenser.
L’homme a écopé d’un an de prison dont 4 mois avec sursis. Il devra payer 5900 euros de dommages et intérêts.
Pour un patron honnête, combien fraudent et paient leurs salariés au black ?
Signaler RépondreCombien de fraudeurs dans ces commerces communautaires (boutiques de réparation de téléphone, entreprises de transport, kebabs, épiceries, etc.) ?
Il n’a qu’a travailler honnêtement au lieu de vouloir frauder au détriment de la collectivité !
Signaler RépondreCertains se battent pour le fric de manière légale, d'autres se battent pour le fric d'une manière illégale,
Signaler Répondrec'est comme ça dans un monde où il faut se battre pour le fric :o)
Trop fort ce wesh wesh , encore un qui vit aux crochets de la société
Signaler RépondreDes gens idiot pas plus futé qu'une moule.
Signaler RépondreEt si non solvable ? Direction le trottoir ! Et un sdf de plus, un !
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