Le crâne humain avait été retrouvé lors d'une grande opération nettoyage de printemps sur les berges du Rhône, puis avait été envoyé à l'institut médico-légal de Lyon. La compagnie de Givors vient de recevoir le résultat des analyses.
Les conclusions confirment bien les constatations de départ : le crâne aurait plusieurs dizaines, voire plusieurs centaines d'années. L'enquête est d'autant plus délaissée puisque le crâne humain ne porte aucune trace suspecte.
D'après les enquêteurs, le crâne aurait été enfermé dans un sac plastique bien après la mort. Et les ossements découverts à proximité seraient d'origine animale.
L'une des hypothèses les plus plausibles, étudié depuis le début de l'enquête, serait qu'un boucher aurait tout simplement jetés ces os, d'un ou plusieurs bovins, qui dateraient de plusieurs années.