Depuis le début de la mobilisation des Gilets Jaunes, ils sont présents en nombre dans les manifestations pour soigner les petits bobos comme les blessures graves. Les street-médics, ou soignants des rues en français, se chargent en effet depuis de longues semaines de prodiguer les premiers secours directement dans la rue aux manifestants ou aux forces de l’ordre blessés dans les affrontements. Parmi eux, de simples citoyens ou des professionnels de santé.
Ce vendredi dès 16h à Villeurbanne, dans le cadre de l’Université de printemps, des leçons seront prodiguées aux potentiels futurs secouristes des rues. Les gestes de premier secours seront enseignés par des volontaires, mais également les techniques de déplacements lors d’affrontements.
Le lieu exact de la formation est pour le moment tenu secret. Pour plus de renseignements, il faut envoyer un mail sur l’adresse suivante : universitéprintemps@protonmail.com.
Les forces de l'ordre doivent faire attention aux street-médics quelque soit le contexte.
Signaler RépondrePS : LFI rien à faire.
Ok on va le refaire plus précisément
Signaler RépondreSi les fascos rouges et bruns ne cassent pas de vitrines, de mobilier urbain, ne font pas de pillages, ne lancent pas des pavés, des boules de pétanque, des cocktails molotov ou de la peinture sur les flics, s'il ne font pas d'agressions gratuites, antisémites ou homophobes, alors je pense que les street-médics n'ont rien à craindre :o)
Avant de répondre il est préférable de lire correctement ce que j'ai écrit.
Signaler RépondreNe vous en déplaise, je parlais des futurs street-médics. Ces gens soignent uniquement.
bravo vous avez admirablement bien relayé la propagande du ministère de la police.
Signaler RépondreMais ne soyez pas trop zélé cela apparait suspect !
Le problème c'est surtout que certains commandants empêchent les street médics de rejoindre les manifestants quand a se délester de tout leurs matériels medical....
Signaler RépondreSi on leur explique qu'il ne faut pas casser de vitrines, de mobilier urbain, pas faire de pillages, pas lancer des pavés ou de la peinture sur les flics, ni d'agressions gratuites, antisémites ou homophobes, alors je pense qu'ils n'ont rien à craindre :o)
Signaler RépondreJ'espère que les futurs street-médics sont aptes à supporter les coups de matraque distribués par les forces de l'ordre.
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