Au total, 5000 m² sont disponibles dans plusieurs espaces. Selon Julien, responsable de l’écosystème start-up manager, "42 entreprises sont pour le moment implantées dans le bâtiment. Pour cette première promotion, les entreprises accueillies sont variées : santé, éducation, mobilité, sport ou encore immobilier. Par exemple, il y a la société Phénix qui aide les entreprises à lutter contre le gaspillage alimentaire, Hello Charlie qui aide à la réorientation des étudiants ou encore Lumeen qui favorise le bien vieillir grâce à un casque de réalité virtuelle utilisé dans les EHPADs pour casser le quotidien de personnes âgées".
Même si elles ont été sélectionnées, les start-ups ont dû mettre la main au porte-monnaie pour venir s’installer à H7. "L’idée c’était de réduire le coût au maximum soit 250 euros pour le prix au poste en open-space, 350 euros le poste en poste privatif", explique Marie Esquelisse, directrice des lieux.
Selon elle, "ce prix inclut l’espace loué pour travailler, mais aussi et surtout l’accès à une communauté qui partage au quotidien. Quoi de mieux pour la visibilité d’une entreprise que de réunir les personnes et les idées ? Il fallait donc un espace de cette taille. Au total, H7 dispose de 400 postes de trvail, 150 sont pour le moment loués.
De plus, une grande nef, totalement rénovée, fait partie intégrante du bâtiment. Là encore, il sera possible de louer cette vaste salle de 740m², avec des espaces modulables, pour un prix compris entre 6000 et 7000 euros. C’est là-bas qu’environ 1250 personnes sont attendues ce mardi soir pour l’ouverture officielle de H7. Un lancement en grandes pompes, qui correspond au début du deuxième appel à projet pour intégrer de nouvelles start-ups dès septembre prochain.
H7 intègre enfin une cour extérieure, mais couverte, qui accueille une sorte de food-court. Plusieurs restaurateurs ont pris leurs quartiers dans des conteneurs. Le choix est varié, mais les quelques travailleurs rencontrés sur place plébiscitent tout particulièrement les pizzas cuites dans un véritable four.
Au total, pour cette "réhabilitation quasi-parfaite" selon Cédric Denoyel président de H7, 11,6 millions d'euros ont été dépensés pour remettre à neuf cette ancienne chaudronnerie spécialisée dans les machines à vapeur.
une grosse escroquerie
Signaler RépondreMoi ministre, je ...
Signaler RépondreMoi ministre, je ...
Quoi ? Qui a dit « dégage »
Heureusement que t es pas ministre de l économie. Ma foi reste dans ta stupidité.
Signaler RépondreJe me demande combien de gilets jaunes figurent parmi les hipsters chez H7....
Signaler RépondreAhhh ... mon boulier est buggé !! Bigre !
Signaler RépondreOui la perte est seulement de 820.000 euros !!
ça fait combien de pizza chaude tout ça.
Dommage je sais pas compter avec mes doigts ...
@oups : ne pas comparer recettes mensuelles et frais de fonctionnement annuels.
Signaler Répondre400 postes disponible à 350 euros, si je sors mon boulier connecté en wifi ... ça fait 140.000 euros de recette mensuelle.
Signaler RépondreAlors que le budget de fonctionnement est estimé 2,5 millions d’euros par an !! ( https://www.frenchweb.fr/la-french-tech-lyon-ouvre-en-avril-son-grand-incubateur-h7/351681 )
Ouf, ça ne fait que 2.360.000 euros de perte, à la charge du contribuable ... petit jeu à coté du musée des confluences
Arrêtez de parler de Totem ... ça va se finir en Rave Party au totem de Villeurbanne ! ... I like to move it moov it ....
Signaler RépondreEncore une plateforme de bureaux de location et espace coworking comme il y en a déjà des dizaines a Lyon. Le tout servi dans un blabla marketing. Next.
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