Les infirmiers et les aides-soignants réclament une prime de technicité de 100 euros net par mois, déjà acquise par les autres établissements de même convention. "La direction reste sourde à nos revendications. Tout ce qu'on nous propose, c'est six financements à un diplôme universitaire infirmier par an. Mais pas de prime. Et rien pour les aides-soignants", s'indigne une infirmière du service réanimation.
Cette prime serait une reconnaissance à "la formation longue et régulière" reçue par les soignants en interne, "pour acquérir les compétences nécessaires" au bon déroulement des soins.
Le mouvement se poursuit donc, en attendant une nouvelle réunion avec la direction prévue le 23 mai. Entamée le 1e mai, cette grève n'a aucun impact sur les soins, le personnel étant assigné.
Oh que si !
Signaler RépondreLe fric continue de détruire la santé, les rapports humains... et ce n'est pas fini vu qu'il faut optimiser le système...
Signaler RépondreVivement qu'on passe à un système postmonétaire :)
Non ?
Les fans des trottinettes électriques vont adorer ! Une incitation pour qu'ils se calment, hein.
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