A partir de l'ordinateur familial, sans que ses proches ne s'en doutent, l'individu a partagé, avec des inconnus, 7854 liens de 513 images et vidéos d'enfants violés ou malmenés sexuellement par des adultes. " Pour moi, ces images n'étaient pas réelles. Je me fixais une limite d'âge. Avant six ans, je ne regardais pas", avait confié l'homme, lors de son audience.
Le trentenaire vivait seul chez ses parents, sans compagne, sans travail et sans amis. Une exclusion sociale totale.
Il écopa de 18 mois de prison avec sursis et mise à l'épreuve pendant trois ans. Durant cinq ans, le trentenaire est aussi interdit d'exercer une activité en lien avec des mineurs et devra travailler. Le juge lui a aussi préconisé de se soigner.
Peine de mort.
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