Il faut dire que la navette reliant la Part-Dieu à l'aéroport de Lyon Saint-Exupéry affiche, depuis sa création en 2010, un prix du ticket particulièrement dissuasif pour de nombreux Lyonnais.
Mais ces négociations risquent d'être tendues à l'avenir, puisque les deux parties se sont récemment retrouvées au tribunal administratif de Lyon pour d'autres raisons.
Rhônexpress attaquait le syndicat en charge des transports en commun lyonnais pour avoir, selon lui, laissé le Département du Rhône avoir deux lignes de cars avec un arrêt à l'aéroport. Ce qui est interdit selon la convention signée, qui octroit à Rhônexpress le monopole de la desserte de l'infrastructure aéroportuaire.
Le Sytral est également accusé d'avoir fait du tort aux finances de Rhônexpress lors des travaux de la desserte du Grand Stade de l'OL, entraînant des fermetures nocturnes obligatoires de la ligne.
Pour ces deux points, Rhônexpress réclame 2,1 millions d'euros au Sytral. Le rapporteur public n'a pas été convaincu par les arguments des exploitants de la navette. Le tribunal administratif indiquera prochainement s'il suit ou non son avis.
et pourquoi il y a pas de concurence au rhone express
Signaler Répondrele mieux ca serai de prolonger le T3
Octroyer le monopole des transports en commun de cette envergure à une société privée montre l’ incompétence ou la malhonnêteté des décideurs de la région.
Signaler Répondreet qui c'est qui paie les procédures de justice (avocats, etc..) du Sytral et du Département ?
Signaler Répondreréponse : ben voyons, le contribuable lyon niais pardis !
Ce contrat est contraire aux dispositions commerciales de l'europe sur les pratiques commerciales
Signaler RépondreCa, ce contrat "fumeux" et le qualificatif est bien léger, c'est l'oeuvre d'un certain Michel Mercier, pris la main dans le sac pour des tas de choses, dont les emplois fictifs de femme et enfants sur le dos de la collectivité
Signaler Répondre