Sur les réseaux sociaux, la lanceuse de disque, vice-championne Olympique Rio 2016, a affirmé que Nike avait décidé de ne pas reconduire son contrat pour une année optionnelle supplémentaire après la naissance de sa deuxième fille. "On m’a dit que cela n’avait aucun lien avec ma grossesse", affirme l’athlète.
Ces propos s’inscrivent pourtant dans un contexte particulier : la marque américaine est au cœur d’une polémique. D’autres athlètes dénoncent actuellement la politique post-maternité de l’équipementier, reproché de diminuer les revenus des athlètes après leur accouchement. Nike a alors promis de changer sa politique de sponsoring des athlètes enceintes.
La Lyonnaise, âgée de 39 ans, s’entraîne pour les JO de Tokyo de 2020. "J’ai une 6ème participation olympique et 1 nouvelle médaille à gagner ! Vous voulez relever ce challenge inédit à mes côtés en cassant les a priori et les préjugés… rejoignez moi", écrit-elle.
C'est compliqué et pas près de changer
Signaler RépondreEntre un congé maternité et plusieurs de suite, avec des congés parentaux... les situations sont difficilement comparables.
Dans mon entreprise, une jeune femme a ainsi enchaîné 3 enfants entrecoupés de congé parentaux d'éducation. Nous ne l'avons pas vue depuis 6 ans et elle bloque le poste d'une remplaçante qui elle, reste en CDD
De mon point de vue c'est abusif
Voilà un sujet dont devraient s'emparer Schiappa et toutes les associations féministes !
Signaler RépondrePourquoi, en France, une femme enceinte ne peut-elle trouver de travail ?
Pourquoi un équipementier ne renouvelle pas son contrat avec une sportive qui vient d'accoucher ?
Cessons cette discrimination des femmes ayant choisi d'être mères...
Toi et ta réac,tu dois manquer d'amour !!!!
Signaler Répondrequelle belle fomme
Signaler RépondreElle se trouve un prétexte elle n est pas très populaire c est peut être pour cela qu’ils ont stoppé leur contrat
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