Le premier, âgé de 25 ans, avait été arrêté dimanche matin rue Paul-Duvivier, dans le 7e arrondissement de Lyon en possession de 89 cachets d’ecstasy. Devant la juge, il a affirmé avoir acheté ces pilules 2,50 euros pour ensuite les revendre 10 euros. Après en avoir débité 111, il avait réussi à dégager un bénéfice de plus de 830 euros. Il sera finalement déficitaire puisqu’il a été condamné à huit mois de prison avec sursis et une amende de 2000 euros.
Le deuxième homme jugé ce lundi avait un profil totalement différent. Vendredi, il avait été contrôlé par les policiers dans le 9e arrondissement de Lyon. Dans son véhicule, 340 grammes de résine de cannabis étaient transportés. Selon lui, il avait été forcé à transporter la marchandise pour rembourser des dettes. Après 17 condamnations, dont 6 liées aux stupéfiants selon Le Progrès, il devra passer un an derrière les barreaux.
Enfin, le dernier dealer à passer devant la justice ce lundi était un Albanais âgé de 22 ans. Samedi, il avait été trouvé dans un appartement abandonné de la capitale des Gaules, en compagnie de plusieurs filles mais aussi de 83 grammes d’héroïne. Malgré sa tentative de justifier que la came avait été trouvée dans un sac de la gare de Lyon-Perrache, il a été condamné à huit mois de prison ainsi qu’une interdiction de territoire pour une durée de six ans.
Cannabis, ecstasy ou encore héroïne : il semblerait que l’agglomération lyonnaise reste une plaque tournante pour les trafics de drogue.
Heureusement que la police et les juges sont là !
Signaler RépondreLes juges n'aiment pas être jugés ? Mais c'est le syndrome Melenchon qui contamine ces gens ?
Signaler RépondreMa personne est sacrée ! On ne me juge pas dans mes fonctions ! Sacré juges imbus de leur personne !
Un peu d'humilité, que diantre, Mrs, Mmes !
Rien de plus , tout est dit
Signaler RépondreCe qui est remarquable , c'est de voir les kangoos avec police dessus , tourner et retourner dans des endroits avec le giro phare et la sirène à bloc , pour les résultats que l'on connait ! ça me rappelle , quand j 'étais à l'armée ; nous avions des camions Simca , et l 'adjudant , parfois , nous ordonnait de faire des tours de caserne pour vider les réservoirs des camions !!!! On dirait que la même mode sévit dans la police de nos jours ? Et puis , tant qu 'on a obtenu le statut de fonctionnaire , si précieux , on est tranquille à vie .....
Signaler RépondreIls font une semaine, quinze jours en calèche Club med à Corbas, en vacances avec les potes déjà détenus et, hop, remis en liberté !
Signaler RépondreEt 2 jours plus tard, ils revendent la beu !
Ce pays est la patrie de Guignol.......
C'est très bien ils seront nourrit ,blanchi!!! et ils auront assuré la relève de leur petit trafic qui continura à leur rapporter en prison.Maintenant qu'ils ont perdu leur emploi ils vont avoir droit au RSA a moins qu'ils le touchait déja!!!!
Signaler Répondre"il semblerait que l’agglomération lyonnaise reste une plaque tournante..."
Signaler RépondreMdr il semblerait oui, mais bon on n'est pas sûr quand même faudrait vérifier.
Changer de disque un peu. "Les juges bobo de gauche"... ras le bol de lire les mêmes inepties à longueur de temps. Aller voter pour votre favorite si ça calme votre colère illégitime, mais faites le en silence au lieu de débiter les mêmes sempiternelles sornettes.
Signaler RépondreVu que nos policiers et la justice sont chaud bouillant, ils pourraient en profiter pour faire place nette au Buers !
Signaler RépondreWaouh! Deux fois huit mois et un an de prison et une interdiction de territoire caduque vu qu'en France on ne reconduit pas les migrants clandestins dans leur pays d'origine, trop dur la justice française.
Signaler RépondreIls vont pas recommencer promis! Les juges bobo de gauche si, pour notre bien ils pourraient faire le mur...
Des cons!