Un trentenaire, abordé une première fois à son domicile, par de faux employés de la société ENI, avait été violemment agressé dans le quartier de Perrache. Les malfaiteurs lui reprochaient d'avoir commis une agression sexuelle, et réclamaient à leur victime la somme de 20 000 euros. Les individus ont également menacé de tuer les enfants du trentenaire, qu'ils avaient pris en photo. Ces derniers avaient finalement pris la fuite, après avoir dérobé 500 euros et deux cartes bancaires à leur victime.
Interpellés un mois après les faits, les six individus ont été placés en garde à vue. Seuls quatre d'entre eux devaient être présentés au parquet ce jeudi. Aucune charge n'a pu être retenue à l'encontre des deux autres personnes interpellées, faute de preuves.
d'où l'utilité du Survisme !
Signaler Répondreo:)
Tout le monde dans le même sac lorsqu'on habite certaines villes ?
Signaler Répondre:o)
Toujours à faire croire que la justice est laxiste alors que les prisons débordent ?
:o)
Vous êtes de quel bord politique ? ;)
Tiens, on ne donne pas les villes d origine de ces salauds!?!?
Signaler RépondreOn parie que si ils sont ecroués, ils ne passeront pas longtemps en prison???
Encore des crimes commis pour du fric ?
Signaler RépondreC'est ballot de rester avec cette menace permanente au dessus de la tête...
toujours des chances pour la France
Signaler RépondreENI qui mal y pense !!!
Signaler RépondreLes deux autres sont mineurs ??
Signaler RépondreOn savait que ENI avait une manière particulière de démarcher des clients à domicile, mais pas à ce point là :)
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