"L'exportation des déchets en Malaisie est inadmissible", s'est insurgé David Kimelfeld. Ainsi, il a assuré de la bonne conduite de sa Métropole concernant la traçabilité des déchets plastiques : "en 2018, 3 200 tonnes d'emballages issus de la collecte sélective ont été recyclés, dont une majorité en France et le reste en Espagne et en Italie".
Le président de la Métropole s'est vanté du système grand-lyonnais et a invité ses pairs à faire de même.
Ce qui est inadmissible, ce n'est pas l'exportation vers la Malaisie, mais la façon dont ils traitent ces déchets.
Signaler RépondreLes malaisiens ne respectent pas les contrats liés au recyclage.