Thomas Rudigoz, député de la 1re circonscription du Rhône a présenté les majeures qui apparaissent dans ce rapport. "Le constat que dresse notre rapport, c’est celui d’un large spectre de mouvances extrémistes : néo-fascistes, national-populistes, survivalistes, identitaires", a indiqué le parlementaire.
Les éléments principaux du rapport
Au total, trente-deux propositions ont été établies. Ce rapport entend lutter contre la reconstitution de ligues dissoutes, à travers une sanction pénale allant jusqu’à 7 ans d’emprisonnement et 100 000 euros d’amende. Pour anticiper les projets d’attentats, plus de moyens vont être attribués aux services de renseignement. Dans le code pénal seront ajoutés les délits d’expression à caractère raciste, antisémite et discriminatoire. Les membres de la Commission ont décidé de renforcer la sensibilisation des jeunes par l’éducation. Ils ont également demandé un rapport annuel au gouvernement. Celui-ci doit recenser les "groupes subversifs violents".
Lyon, un lieu d’ancrage des groupuscules
Afin d’établir ce rapport, fruit de cinq mois de travail des députés, les députés membres de cette Commission ont effectué des déplacements en France et à l’étranger, pour "étudier sur le terrain l’ancrage de ces groupuscules", précise Thomas Rudigoz. Il a accueilli ces homologues à Lyon pour visiter des lieux d’implantation de groupuscules, comme les identitaires.
Je veux bien lutter contre l'extrême droite, mais pourquoi rien n'est il fait contre l'extrême islamisme, rien de rien? Depuis 1985 ( souvenez vous du métro St Michel par ex), TOUS les attentats meurtriers sont le fait d'extrémistes musulmans. Comme on le dit au bistrot, TOUS les musulmans ne sont pas terroristes, mais tous les terroristes sont musulmans.
Signaler RépondreEt contre l'extrême gauche ? Rien.... pourtant pas mieux voir pire !
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