Soupçonné d’avoir, entre les mois de mars 2018 et janvier 2019, sur les lignes 60 et C12 des TCL, agressé sexuellement des victimes en se frottant à elles, il avait été placé en garde à vue le 1er février 2019.
Après avoir nié et laissé libre en attente d’une expertise psychiatrique, il a été réentendu et a finalement reconnu les faits. Il est présenté ce jeudi en comparution immédiate.