"On a pu monter que dans une ville, qui finalement se reconstruit parce que la Confluence c'est presque un nouveau territoire, on pouvait multiplier les initiatives", s'est réjoui David Kimelfeld, président de la métropole de Lyon.
Que ce soit avec la construction de bâtiments basés sur l'autoconsommation, une nouvelle façon de penser les espaces publics ou encore la construction d'immeuble moderne "en terre crue", l'ingéniosité des architectes est fortement mise au défi, lors de la présentation de l'avancement de l'ilot Ydeal.
"Le Champs", qui aujourd'hui n'a pas d'arbres et qui pourtant est déjà considéré comme le nouveau poumon vert du quartier, s'inscrit dans la deuxième grande partie de la Confluence. "La démarche est innovante : il s'agit de créer la ville de demain en inversant le regard sur la façon de la concevoir : un paysage de bois habité par des bâtiments invités dans un grand espace de nature. Pour cela, on teste, pas à pas, des nouvelles façons plus écologiques de concevoir en employant des techniques alternatives, en mobilisant les habitants et en réfléchissant aux pratiques et aux usages. L'objectif est de modifier le site de façon radicale et durable, en réintégrant la nature (une plantation massive de 1000 arbres) et la biodiversité et en le rendant attractif pour favoriser son appropriation par les visiteurs et les futurs riverains", a expliqué la Métropole.
La station Mue, décrit comme le cœur battant du Champs, est un lieu hybride d'expérimentation sociale, culturelle et écologique. Ce projet imaginé par l'équipe de paysagistes BASE et du collectif Bruit du Frigo
"L'idée, c'est de dire que ce qu'on a fait ici à la Confluence qui est plutôt de l'expérimentation à grande échelle il faut qu'on accélère le mouvement parce que c'est une réponse absolument indispensable au dérèglement climatique (…) On peut bien évidemment imaginer que ce qui s'est réalisé ici puisse demain se réaliser au cœur de la ville de Lyon sur d'autres espaces organisés ici", a confié le président de la Métropole de Lyon.
Le projet urbain aboutira à l'horizon 2025 avec un million de m² supplémentaires.
Bonjour,
Signaler RépondreDe quel bâtiment vous parlez?
ET SUR LE QUAI A CONFLUENCE CA SERAI BIAN AUSSI DE PLANTER DES ARBRES
Signaler Répondreplutôt les urbanistes et les politiques que les architectes. Mais si vous demandez à un élu plus de "vert" dans votre ville il vous répondra que ça coute cher parce qu'il faut payer des salariés...
Signaler RépondrePour Confluence là ou les architectes auraient pu faire un effort c'est sur les matériaux "bio-sourcés" mais nous avons un septuagénaire colérique aux Terreaux qui ne veut pas en entendre parler.
Ce qui me gène sur Confluence, c'est ces immenses zones très minérales qui créent des ilots de chaleur insupportables
Signaler RépondrePar exemple autour de l’hôtel de région , fournaise l'été, glacial l'hiver
C'est incompréhensible quand on voit parallèlement le travail sur les ilots de chaleur dans le nouveau PLUH
Il n'est pas trop tard pour arrêter la connerie et pour végétaliser ces espaces morts
Et aussi pour rappeler que les architectes (qui n'habitent pas leurs œuvres) doivent respecter des règles de bon sens
C est quoi ce batiment degueux????? On se croirait dans une zad
Signaler RépondreC est ca le progres?
Les brumistaeurs qui humidifient les toits des restau du dernier etage du centre commercial.... C est ecolo ca?
Ce quartier est une honte parce que moche, mal concu.... Et surtout drapé de corruption
Votre dernière phrase résume tout. Un architecte ne sait pas concevoir ce n’est pas un ingénieur.
Signaler RépondreQuel bâtiment?
Signaler RépondreJe travaille à Confluence depuis 5 ans dans un bâtiment neuf et innovant Nous payons des charges colossales et même avec tous les systèmes innovants des qu il y a du soleil on se pete de chaud Rien ne fonctionne correctement c est une horreur Merci à l architecte qui a conçu ce bâtiment
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