Malgré son succès à Confluence, la navette s’exporte mal. La société Navya a présenté ce jeudi les résultats du premier semestre 2019. Le constat est sans appel : l’entreprise est dans le dur.
Ses ventes ont chuté d’un exercice à l’autre, passant de 36 cessions entre janvier et juin 2018 à seulement 18 sur cette même période en 2019. Le chiffre d’affaires suit la tendance, avec une baisse de 32 % des résultats. Estimé à 9 millions d’euros au premier semestre 2018, le chiffre d’affaires s’établi à 6,1 millions d’euros depuis le début de l’année civile.
L’un des problèmes majeurs des navettes est leur manque d’autonomie complète et leur vitesse de pointe, jugée trop faible. ’ Les dirigeants ont donc décidé de changer de cap. Elle compte désormais proposer ses services aux industriels souhaitant utiliser leurs technologies pour rendre leurs véhicules autonomes.
À Confluence, la Navya bat son plein. Plus de 40 000 personnes ont emprunté la navette depuis sa mise en place en 2016.
ZIG n'a toujours pas trouvé d'exemple qui invalide l'approche du Survisme....
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quelqu'un t'a promis quelque chose ?
Signaler RépondreEst-ce le retour de l'enfant prodige sous un autre pseudo ?
Signaler RépondreL'avenir nous le dira !
Pour revenir au sujet actuel:
" Les promesses n'engagent que ceux qui croient qu'un monde de fric est viable."
Ça c'est vous qui le prétendez, mais ce n'est pas la réalité.
La réalité c'est
"Les promesses n'engagent que ceux qui y croient"
Il y a ceux qui croient qu'un monde sans fric est viable, et qui nous font des promesses qui n'engagent que eux.
Comme d'habitude.
Les promesses n'engagent que ceux qui croient qu'un monde de fric est viable.
Signaler Répondreo:)
On connaît la stratégie de Bonnel, je créé et je fais faillite ! Politicien en puissance ! Et Keolis est actionnaire également !
Signaler Répondreelle ne fonctionnait qu'à coups de financements et subventions d'état et d'europe (pour mémoire 30 millions, c'est l'ardoise que les européens ont sur le dos pour cette entreprise managée comme Infogrammes, donc la suite vous la connaissez puisque c'est le même propriétaire
Signaler Répondreoui parce que le propriétaire majoritaire n'est autre que le fonds propriété de bonnel, député en question qui n'est jamais à son boulot de député, autrement que par la com, et qui ne veut pas jouer dit il les assistantes sociales,
Signaler RépondreComme pour l'OL, les actionnaires du début se sont bien fait avoir :
L'action achetée par ceux qui ont cru aux promesses, a été payée 7 euros, il y a un an
Elle ne vaut ce soir à la bourse de Paris plus que 0,80 cts sans compter les augmentations de capital qui ont multiplié le nombre d'actionnaires autour du camembert pour les éventuels bénéfices à diviser
https://www.boursorama.com/cours/1rPNAVYA/
C'est de mauvaise augure pour la voiture autonome française.
Signaler RépondreUne fois de plus, les américains seront meilleurs que nous, et viendront inonder le marché à base de voitures sans conducteurs de marque Google ou Apple...
Pour une fois qu'une société villeurbannaise fonctionnait !! Vivement la légalisation du cannabis que villeurbanne devienne la plaque tournante du business
Signaler RépondreBonjour
Signaler RépondreJ'ai testé la navette à confluence : intérêt très limité : vitesse très lente et freinage très violent et dangereux si la navette croise un obstacle
... et ça promet de beaux embouteillages encore une fois dans le quartier du "réservoir" à Décines, et juste pour laisser passer cette navette ils ont mis des feux tricolores au rond-point déjà saturé, tout cela pour une navette jouet....... il est temps que les politiques qui ont instaurés cette m.....e comprennent qu'ils se sont faits manipulés par le financier et son compère député LREM
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