Alors que le festival Démon d’Or a fêté l’été dernier sa 15e édition à Poleymieux-au-Mont-d’Or, l’organisation a publié il y a quelques jours un communiqué scellant la fin du festival prisé par de nombreux Lyonnais.
"C’est avec beaucoup de tristesse que l’association, trop endettée, a été contrainte de voter lors d’une assemblée générale exceptionnelle, le dépôt d’un dossier de liquidation au tribunal de commerce et la cessation de son activité" apprend-t-on dans le texte publié sur les réseaux sociaux.
"Nous avons profité de chaque minute, de chaque sourire, de chaque son, de chaque pétillement dans vos yeux de festivaliers. Nous sommes très fiers et heureux d'avoir fait vivre ce magnifique festival pendant tant d'années dans ces belles collines des Monts d'Or, qui nous sont si chères" déclarent les organisateurs qui poussent désormais leur public à continuer à se rendre dans les "petits" festivals associatifs.
Durant les 15 éditions du festival, les participants avaient effectivement pu profiter du savoir-faire de qualité des bénévoles souvent originaires du Rhône. Un évènement qui permettait notamment aux festivaliers de découvrir de nombreux groupes plus ou moins connus, tout en profitant du camping installé dans les Monts d’Or pour ces weekends festifs.
Un seul couac avait eu lieu en 15 éditions, lorsqu’en 2012, un automobiliste n’avait pas remarqué une personne qui dormait sous son véhicule et lui avait roulé dessus. La victime avait été gravement blessée.
Une pensée aux prestataire qui ont pas été payé...
Signaler Répondreun festival à fils a papa
Tient, en voilà un qui n'aime pas la musique, la jeunesse et les démons d'or des monts d'or.
Signaler RépondreOn va allé écouter la musique militaire avec lui...
Il y a d autres choses a faire a part tf1 ou des festivals ou l on s envoye en l air avec des extas....crois moi
Signaler Répondrece festival était tout simplement génial, dommage qu'il s'arrete :/
Signaler Répondrepour les grincheux, restez devant tf1, cela vous va si bien
Demon d or....le nom resume tout....c est ce que la jeunesse francaise "kiffe".
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