Au SDMIS de Saint-Priest se déroulait ce mardi la première journée de la prévention des risques industriels. Alors qu’une campagne a lieu tous les cinq ans autour de ce sujet, cet événement régulier doit permettre d’accroître la prévention.
Le but est, en plus de connaître les consignes à respecter, d’informer les riverains sur les risques auxquels ils sont exposés. Cette sensibilisation s’étend sur 122 établissements de la région Auvergne-Rhône-Alpes, dont 99 sites classés Seveso.
On peut faire tous les contrôles qu'on veut, l'accident reste toujours possible
Signaler RépondreCe qu'il faut c'est former sérieusement la population par quartier par quartier
Ce qui, en outre, créerait du lien et de la solidarité entre les gens
Mais comme plus personne ne veut payer...
C'est vrai que Lubrizol semble redécouvrir « Le Feu » à chaque incident "mineur" et qu'il leur faudrait un mémo en salle de pause.
Signaler Répondreet les pastille d'iode si la centrale nucléaire à 30km explose, elles sont où ?
Signaler RépondrePar expérience il cherche à payer moins cher la Sté sécurité donc pas étonnant que l on soit obliger de subir de la com Donc là lois dit un agent on laisse 1 agent au pc et 1 rondier extérieur qui vient 15 mn toute les 2 h qui doit surveiller le site
Signaler Répondresi les coupables des attentats incendiaires étaient sévèrement recherchés et punis, on aurait pas besoin de ces campagnes de com
Signaler RépondreC'est tout mignon, mais si ces entreprises arrêtaient de nous pourrir et étaient contrôlées sérieusement, on pourrait se passer de ces campagnes de com.
Signaler RépondreTous ces sites sont garder par des sociétés de sécurité privée combien y a-t-il d agent sur place 1-2 peut être faudrait-il voir voir à renforcer les équipes . Et peut être éviter les vacations de 12 h car au bout de 8 h de garde ils ne sont plus réactif je pense
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