Jugé en première instance à Saint-Etienne, le maire de Firminy avait été condamné en février dernier à un mois de prison avec sursis pour ces faits qui remonteraient à l’été 2016. Il est soupçonné d’avoir agressé sexuellement une employée du Conseil départemental du Puy-de-Dôme lors d’un déplacement à Istanbul.
Niant catégoriquement les faits, Marc Petit avait décidé de faire appel à l’issue du premier procès souhaitant être blanchi. La nouvelle audience aura lieu ce vendredi devant la cour d’appel de Lyon. L’élu communiste risque toujours jusqu’à cinq ans de prison.
On reste encore très loin du palmarès des Balkany, Fillon et Cie
Signaler RépondreDécidément des tronc et compagnie C est contagieux
Signaler Répondre"L'humain d'abord " comme disent les communistes,
Signaler Répondremais avec contact c'est encore mieux !