Cette semaine, les JECO s’intéressent notamment à l’économie de la nourriture. Forcément géante, imposante. Même si le problème de la faim paraît aujourd’hui réglé dans les pays occidentaux. "D’une certaine façon, on peut dire qu’on a réglé le problème de la faim. (…) Mais aujourd’hui, il y a toujours un problème d’accessibilité à une alimentation de qualité par toutes les populations", fait remarquer Carole Chazoule.
"Pourquoi bien manger ne serait accessible qu’aux riches ? C’est un souci qui doit concerner tout le monde. Bien manger, ce n’est pas forcément beaucoup plus cher si on sait comment bien manger", poursuit l’économiste.
Selon elle, "le marché des produits locaux, c’est 8% du marché agroalimentaire. Ca augmente mais pas suffisamment pour dépasser les importations".
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"Par contre, on aurait tous à gagner à consommer plus de produits locaux.
Signaler RépondreC'est sûrement ce que voulait dire cette chercheuse."
Donc vous me reprochez une interprétation personnelle pour en faire une illico !...
Mais peu importe, j'ai le droit, sans votre autorisation, de critiquer le dogme de la nouvelle religion récité comme un catéchisme.
Et, si on a le droit de débattre, ce dont je ne suis pas sur tant le dogme soit être récité sous peine d'être taxé de tous les maux, pourrais-je vous demander de préciser votre "on aurait tous à gagner à consommer plus de produits locaux.".
Vous voulez dire en terme de qualité ? (auquel cas je vous renvoie à mon premier commentaire)
En terme de prix ?
En terme de respect de l'environnement ?
En terme d'emploi ?
Si vous voulez on peut en débattre... à moins encore une fois que le dogme ne souffre tout débat...
Ce n'est que votre interprétation personnelle, et nulle part dans cet article il est dit ce que vous resumez de cette sorte.
Signaler Répondre" Un produit local du Rhône serait un "bon" produit s'il est consommé dans le Rhône, mais un mauvais produit s'il est exporté et consommé en Italie par exemple ?
Et inversement, un produit importé serait forcément de moindre qualité ?".
Par contre, on aurait tous à gagner à consommer plus de produits locaux.
C'est sûrement ce que voulait dire cette chercheuse.
Gérard Angel, s’il vous plaît, invitez des personnalités dignes d’intérêt. Pas des personnes récitant ce qui me semble être un catéchisme quelque peu vain
Signaler Répondrepeut être que le produit ne sera pas de la même qualité qu'un produit importé (soit en mieux soit en moins bien) mais le bilan carbone ne sera pas le même.
Signaler RépondreEnsuite "le manger local" répond aussi à certaines règles (exemple à Thonon on peut aussi bien manger des produits suisses italiens comme français).
Les choses sont un peu plus nuancées que vos propos
"le marché des produits locaux, c’est 8% du marché agroalimentaire. Ca augmente mais pas suffisamment pour dépasser les importations".
Signaler RépondreEt ?
Cette chercheuse a apporté la preuve scientifique que les "produits locaux" étaient de meilleure qualité ?
Un produit local du Rhône serait un "bon" produit s'il est consommé dans le Rhône, mais un mauvais produit s'il est exporté et consommé en Italie par exemple ?
Et inversement, un produit importé serait forcément de moindre qualité ?
Comment une chercheuse peut véhiculer de tels clichés récités comme un catéchisme à la mode ?...