A Lyon, le syndicat étudiant a donc distribué un tract dans lequel il tourne en dérision les pratiques mises en avant par ses homologues de gauche comme l’écriture inclusive.
Et promet qu’"avec l’UNI, c’est plus de" suivi de trois photos de saucisson, vin rouge et baguettes de pain. Les symboles de la France qui ont été vu comme un message excluant, voire une référence islamophobe.
Le tract indique également que l’UNI réclame "la tolérance zéro avec les blocages", défend "la qualité de l’enseignement" et "dénonce le communautarisme".
A l’université de droit de Lyon 3 Jean Moulin, le tract a fait réagir. Surtout dans le contexte actuel de la colère étudiante où les syndicats de gauche s’opposent à ceux de droite sur les solutions à trouver pour lutter contre leur précarité. Avec comme origine l'immolation d'Anas, étudiant de Lyon 2, devant le Crous dans le 7e arrondissement.
Contacté par LCI, le porte-parole de l’UNI Clément Armato a évoqué le "second degré" pour expliquer le tract vantant les apéros franchouillards. Et a estimé avoir mis en avant un "côté humoristique et décalé" pour "attirer l’attention" des étudiants de sensibilité de droite.
On m'a donné ca ce matin....
— mathieu_agt (@agt_mat) November 19, 2019
C'est juste dingue... pic.twitter.com/Qp37SXhJDr
Ca devient du grand n'importe quoi dans ce pays!
Signaler RépondreBientôt tu te fera traiter de facho et de raciste lorsque tu achèteras un saucisson au supermarché.
Quelle époque hystérique!!
Signaler RépondreToutes ces assocs de soi-disant bien pensants, mais en fait de frustrés sociaux qui vivent leur combat par procuration et pour pas cher, veulent nous asservir mentalement. Des vrais intégristes et dictateurs en puissance
"les syndicats de gauche s’opposent à ceux de droite" Depuis de nombreuses années, c'est la guerre picrocolesque qui oppose Lyon II, dite de gauche à Lyon III, dite de droite.
Signaler RépondreDéjà en mai 68 !
ET ALORS !!!!!!
Signaler Répondrevive les apéros frenchouillards
il n'y a pas que les kebbabs!!!!
le vin le saucisson font partie de notre patrimoine culinaire
faut t il interdire tout ça?