L'avocat général a décidé de ne requérir aucune peine à l'encontre du Primat des Gaules, et donc demande de ne pas confirmer la décision rendue par les premiers juges. "La justice ne doit pas être dans le symbole", a-t-il déclaré.
Joël Sollier a toutefois reconnu que "nous avons négligé et abandonné les petits", faisant référence aux victimes. Mais que s'il fallait faire valoir le droit, l'archevêque n'avait pas fauté. "Le délit de non-dénonciation n'est pas constitué", a-t-il rajouté.
Comme en première instance, aucune condamnation n'est donc requise contre Philippe Barbarin, poursuivi pour non-dénonciation d'agressions sexuelles sur mineurs. Cela n'avait pas empêché les juges du tribunal correctionnel de Lyon de lui infliger une peine de 6 mois de prison avec sursis.
Jeudi, Philippe Barbarin avait indiqué qu'il n'arrivait "pas bien à voir en quoi (il est) coupable". Et a répété qu'il ne savait pas à l'époque qu'il aurait dû dénoncer le père Bernard Preynat lorsqu'il a appris que ce dernier avait violé et agressé sexuellement des enfants.
L'arrêt de la cour d'appel sera rendu le 20 janvier 2020. "Je suis soulagé, je m'en remets à la décision de la justice. (..) Je pense aux victimes", a déclaré le cardinal à sa sortie de l'audience.
HONTE à la justice française;grosses pensées aux victimes de ces barbares pervers!!!!REVOLUTION!!!!!!!!!!!!!!!
Signaler Répondrela décision de l'avocat général est empreinte de sagesse et de droit. le droit a enfin pu s'exprimer
Signaler RépondreJe n ai plus de mots pour dire mon indignation et ma colère
Signaler RépondreÇa doit être l'idée que se fait cet avocat général de l'intérêt général........
Signaler RépondreLe Primat des Gaules s'en sort encore une fois très bien , un peu comme un "enfant innocent ". La France reste très conservatrice et défend son image "pseudo religieuse " face au monde car , c'est bien grâce à des responsables pédophiles de l'Église que les églises ce vident .
Signaler RépondreLa justice divine fera son travail car l on connaît celle des hommes mais bon à chacun sa façon de croire ou pas !
Signaler Répondre"Et a répété qu'il ne savait pas à l'époque qu'il aurait dû dénoncer le père Bernard Preynat lorsqu'il a appris que ce dernier avait violé et agressé sexuellement des enfants."
Signaler RépondreLyonMag, vous faites une présentation plus que tendancieuse des faits. Ce n'est évidemment pas cela qui a été dit.