Des peines allant jusqu'à 7 ans de prison ont été prononcées à l'encontre des 24 prévenus, jugés pour aide au séjour irrégulier, proxénétisme aggravé, traite d'êtres humains et blanchiment d'argent en bande organisée. Ce sont les trois têtes du réseau qui ont écopé des peines les plus lourdes, notamment une femme, considérée comme l'une des 18 criminelles les plus recherchées d'Europe, et toujours en fuite ainsi qu'un pasteur évangélique.
Ce procès était le résultat d'une enquête démarrée en 2016. Les investigations avaient permis de dénombrer une cinquantaine de femmes prisonnières de ce réseau. Les filles se voyaient attribuer une dette de 30 000 euros à leur arrivée en France et étaient logées à leur frais par les proxénètes. Elles étaient forcées à se prostituer dans une trentaine de camionnettes dans le quartier de Gerland. Un trafic qui aurait rapporté jusqu'à 150 000 euros par mois.
Et après les 7 ans de prise en charge des ces gens là, ils vont repartir chez eux après ?..
Signaler Répondreca devient plus rentable de se prostituer dans un camion qu au bureau ? c est le monde a l.envers.
Signaler RépondreL’esclavage n est donc pas très grave aux vues des peines prononcées !!!!!! Et bien sûr, pas de mandat de dépôt!!!!!!
Signaler RépondreJ espère que lors de la prochaine exaction d un des condamné, le juge sera sur le banc des accusés pour incitation et complicité
Honte une fois de plus à la justice française. 7 ans de prison avec les remises de peine cela fait combien?
Signaler RépondreLa meilleure façon de protéger ces victimes des prédateurs (proxénètes ET clients) est de rétablir les maisons closes. Ces victimes qui se prostituent seront au chaud, protégées, suivies médicalement et aidées pour sortir de ce fléau. Il ne faut pas imaginer un instant que ce fléau disparaîtra: l’exposition au danger pour ces victimes va de paire avec la répression.
Signaler RépondreTout à fait d accord avec vrai lyonnais.
Signaler RépondreTout n est que violence dans cet univers et il faudrait inlassablement poursuivre ceux qui se livrent à cette forme d esclavage.
Moi quand j étais jeune j étais pas beau mais jamais j allais à la pute car risque de maladie vénerienne mais je dis que des filles de joies existent depuis l antiquité et donc ils y en faut malheureusement !
Signaler RépondreDe toute façon ne rêvons pas mêmes les politiques on les leurs qu on appelle des cals girls et des maisons de luxe pour eux alors S. V. P.???
Ce sont surtout les clients qui sont des hontes. On sait depuis des années et des années que la pute heureuse est un mythe. Que derrière chaque prostituée se cache drogue violence et proxénétisme. Aller aux putes c’est encourager la traite et l’exploitation des femmes, quel que soit sa couleur ou sa religion.
Signaler RépondreÉh bien, il semble mieux valoir être “proxo” nigérian que français !! Ces saloperies devraient pourtant Tous prendre +++ Cher, qu’ils soient noirs ou blancs, étrangers ou français....
Signaler Répondre