La Préfecture a publié un arrêté préfectoral, effectif jeudi de 8h à 22h, afin de "prévenir les dégradations et les violences de certaines personnes présentes dans les cortèges dans des zones très fréquentées par les piétons".
Le périmètre suivant sera concerné : rue du Puits Gaillot, place des Terreaux, rue d’Algérie, quai Saint-Vincent, quai de la Pêcherie, quai Saint Antoine, quai des Célestins, rue du Colonel Chambonnet, rue de la Barre, quai Jules Courmont et quai Jean Moulin (les quais Saint-Vincent, de la Pêcherie, Saint Antoine, des Célestins, Jules Courmont et Jean Moulin et la rue de la Barre sont exclus de ce périmètre).
Les cortèges, défilés et rassemblements revendicatifs seront également interdits rue Victor Hugo.
2ème démission en deux jours !
Signaler RépondreLa Haute autorité pour la transparence de la vie publique (HATVP), saisie par l’association Anticor, poursuit ses contrôles sur le haut-commissaire aux retraites. De son côté, l’entourage de Jean-Paul Delevoye n’a pas attendu la décision de l’autorité pour annoncer à « Libération » qu’il avait remboursé les sommes perçues depuis qu’il a été nommé au gouvernement en septembre dernier. Et qu’il s’apprête même à rembourser toutes les sommes touchées depuis sa nomination comme haut-commissaire en septembre 2017, soit un total de près de 140 000 euros selon le quotidien.
Face à la polémique qui montait en début de semaine sur sa déclaration d’intérêts, Jean-Paul Delevoye, avait décidé mardi 10 décembre de quitter ses fonctions au sein du groupe IGS à la suite d’un « réexamen » de « sa situation personnelle ». « Tout mon parcours prouve mon souci de transparence et de respect des lois », avait-il assuré devant l’Assemblée nationale.
Lundi, le haut-commissaire, accusé de conflit d’intérêts avec le milieu des assurances, avait également démissionné de sa fonction d’administrateur bénévole d’un institut de formation du secteur, l’Ifpass (Institut de formation de la profession de l’assurance), qu’il occupait depuis 2016 mais n’avait pas déclarée, comme l’a révélé « le Parisien » en plein conflit sur la réforme des retraites. Une « erreur » et « une omission par oubli », avait réagi Jean-Paul Delevoye auprès du quotidien.
On n'a jamais eu autant de manifestations et b.... en tous genres que depuis le "règne" de Macron.
Signaler RépondreCe petit roi de pacotille devrait faire preuve d'un minimum de fermeté.
Il nous faudrait un De Gaulle bis.".
perso, propose que les femmes prennent la place des hommes lors des manifestations et on verra de suite qu'il y aura moins de violence et moins de dégradations. Mais bon ce n'est pas près d'arriver car il faudrait que ces sieurs acceptent de rester au bercail et de s'occuper des taches ménagères et des enfants.
Signaler RépondreHabituez-vous. Après 2020, ce sera le début du 'quiet sound' à Lyon. Zéro rassemblements, zéro événements pour perturber les habitants. Pensez à une petite ville au nord du Canada ou en Asie Centrale pour avoir une idée de la tranquillité dans un avenir proche.
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