Moins coûteux que son projet de quasi-doublement du nombre de policiers municipaux, le volet "démocratie" présenté ce jeudi essaie de favoriser la participation citoyenne à la démocratie locale.
Ayant fait le double constat que le temps où l’élu "gouvernait comme il le voulait en attendant le verdict des citoyens six ans après son élection" appartenait au passé, alors que dans le même temps : "la démocratie directe conduisait à la paralysie", le candidat LR a présenté une série de 8 propositions destinées à mettre en place une "démocratie représentative modernisée".
Certaines ont déclenché une foule d’interrogations chez les journalistes présents (à l’exemple de son projet de mettre en place un groupe féminin, "Les Lyonnes", dirigé par Florence Verney-Carron et chargé de faire des propositions pour une ville plus adaptée à la femme, d’autres n’ont entrainé aucun émoi, comme ces écrans digitaux placés dans la rue et permettant aux citoyens de dialoguer avec la municipalité de Lyon.
Certaines propositions paraissent innovantes, comme celle consistant à transformer les
conseils de quartiers en "jurys des Lyonnais" (avec 33% de volontaires, 33% de tirés au sort et 33% désignés par la municipalité) chargés de travailler avec les services administratifs de la mairie en amont des projets des élus. D’autres paraissent sans espoir, à l'instar d'un établissement d’un référendum décisionnaire sur la piétonisation.
In fine la question de la subsidiarité se pose : à quel niveau politique l’intervention publique doit-elle se faire ? Pascal Blache est un petit nouveau en politique, mais moins que les autres têtes de liste d’Etienne Blanc, car il est maire du 6e depuis 2014. C’est à ce titre qu’il veut faire part de son expérience : "Une mairie d’arrondissement c’est vraiment le guichet unique. On a 52 000 habitant dans le 6e et on a eu 50 000 visites dans l’année. Les gens viennent nous voir car leur déclaration de revenus est à faire sur internet et ils ne savent pas faire, ils viennent pour des problèmes de travaux, de crèches, de cantines… mais nous on a personne à mettre en face".
La ville de Lyon parait maintenant prise entre une Métropole totalement invisible mais pourvues de beaucoup de compétence, et des mairies d’arrondissement dans une situation exactement inverse. Au milieu se trouve la Mairie de Lyon. Sert-elle encore à quelque chose ?
Aussi optimiste que le furent les troupes de Fillon...
Signaler Répondreavant de la ramener , attendez le 22 mars soir du 2eme tour......
Signaler RépondreIl serait temps que les responsables politiques LR entendent qu'ils vont droit dans le mur avec ce fantoche Blanc. Ce sera la même bérézina qu'avec Fillon. Il est urgent de changer de braquet !
Signaler RépondreUn candidat ...inconnu.....des têtes de listes ...inconnues, sauf Pascal Blache Maire du 6.... et sûrement ... un score...inconnu mais proche de nul...... voilà ce que propose la Droite pour Lyon..... malheureux pour ma ville... mais heureux d’en être parti......
Signaler RépondreCela démontre que LR ne veut surtout pas emporter les prochaines élections alors qu'ils ont un boulevard devant eux. Vraiment désolant.
Signaler RépondreEt nous, nous lui espérons une nouvelle déroute municipale!
Signaler RépondreIl sera juste dans l’opposition!
Signaler RépondreLes journalistes devraient publier ce que touche un élu dans l’opposition avec le cumul aussi de vice président METROPOLE et vous allez comprendre l’intérêt d’être tête de liste.
Une droite inexistante !
sa campagne est d'une morosité sans nom .... Ni ambition, ni conviction ... pas dit que les LR à Lyon n'arrive pas derrière Agnès Marion et Denis Broliquier ...
Signaler RépondreIl est temps de réactiver le mot "démocratie" prohibé pendant tout le règne collomb
Signaler Répondreil ressort de cela un mélange touffu d'idées folklo et incompréansibles et le seul proche de la réalité reste P.Blache qui effectue du bon travail en sa mairie et doit être "mortifié" en entendant toutes ces niaiseries..courage
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