Alexandra Mathiolon est devenue récemment DG de l’entreprise de son père Guy Mathiolon. Elle est ainsi l’une des rares femmes à occuper un tel poste dans le BTP. Un monde dans lequel elle dit avoir été "très bien accueillie car les choses ont beaucoup changé. Il y a encore des progrès à faire car il y a relativement peu de femmes aux postes de direction".
Alexandra Mathiolon s’intéresse tout particulièrement "aux énergies renouvelables, aux métiers autour de la transition énergétique".
La nouvelle DG de Serfim promet n’avoir "aucun objectif de chiffre d’affaire, je veux continuer sur la diversification de nos métiers".
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Et, elle va embaucher plus de femmes sur les chantiers, comme tailleurs de pierre ou chef d'équipe ?
Signaler Répondre.... et même en politique, la preuve.. notre martine rip. virée de 2 partis politiques qu'elle essayait de draguer.... pas de bol.... reste peut-être le foot, n'est ce pas louloute ? :))
Signaler RépondreEh oui. Demandez à Donald Trump et bientôt à ces enfants....
Signaler RépondreLe BTP fait parti des pires secteurs d'emploi du pays.
Signaler RépondreDepuis plus d'1 siècle le management est de type france télecom, à cause de ça il y'a des tas d'accidents, de burn out, de départs volontaires vers le monde imaginaire, et de violences graves entre personnels (y'a qu'à regarder les faits divers du site, y'en a plein).
Si ça ne suffisait pas ça pleurniche h24 depuis la même période de ne pas avoir les ressources humaines suffisantes en France, ce qui les obligerait à embaucher à l'étranger pour des salaires inférieurs de -20/-30%, on se fiche de nous et encore plus étant donné qu'au début des années 00 il y'a eu une étude parlementaire sur la question avec Bouygue qui a témoigné que c'était qu'une vulgaire farce... Puis de toute manière, a t'on besoin de cette étude ? En 1 siècle ils auraient pu faire de la formation à un niveau qui leur serait convenable et au niveau qu'ils l'auraient souhaité, surtout qu'ils ne forment quasi pas en formation continu, préférant pleurnicher que l'Etat fasse leur travail de formation, pour baisser les couts ...
Il n'y a aucun respect à avoir pour ces gens, de plus le btp pendant l'occupation a été le secteur le plus visé par la collab économique.
Dans ces conditions pourquoi y aurait-il plus de femmes ? Surtout qu'on y envoie presque systématiquement surtout les éléments du pays les plus turbulents qui sont en général des hommes, ce qui empire encore plus les pb, combien faudra t'il de fait divers dans lyonmag pour qu'on change ce secteur ?
Pourquoi pas si elle est capable ?
Signaler Répondresi elle a fait polytechnique ou de grandes écoles dans le domaine industrielles ou autres !
Bonne chance !
Hériter, c'est un métier ?
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