Le PRG n’est pas encore fixé pour les élections municipales et métropolitaines à Lyon. Après avoir négocié avec Sandrine Runel et la gauche unie, il se lance désormais dans la quête d’un accord avec David Kimelfeld et Georges Képénékian.
"On a discuté avec tout le monde, on a négocié avec Sandrine Runel. La raison pour laquelle on n’est pas partis avec la gauche, c’est que des choses nous ont fortement déplu lors des négociations. (…) Le PRG devait avoir deux circonscriptions, elles ont finalement disparu", narre Cédric Rousset.
Pour l’élu régional, "la Métropole a aujourd’hui besoin d’une gouvernance plus assouplie. Et les relations entre mairie centrale de Lyon et mairies d’arrondissement ont besoin d’être fluidifiées. Ce n’est ni de droite ni de gauche de considérer que ça doit aller dans ce sens".
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Lors de la constitution de la fédération Lyon-Métropole du nouveau MRSL (Mouvement Radical Social Libéral), J.F. Auzal fut plus que déloyal et sans scrupule, en agissant en coulisses pour pulvériser ses cousins de la fédération Lyon- Métropole du Parti Radical Valoisien avec qui il avait convolé en justes noces. Une fois ce travail exécrable accompli, il est parti ailleurs.
Signaler RépondreDans la foulée, il fait nommer, un élu PRG de Villeurbanne, J. Bocquet comme président de la nouvelle fédération MRSL, avec la complicité de B. Fialaire qui n’a jamais digéré à côté de lui, au sein du Parti Radical Valoisien, la création d’une fédération pour la Métropole. Au bout de quelques mois, après avoir accompli la sale besogne, J.Boquet démissionne à son tour. Par remords ou par opportunisme, ou les deux à la fois peut-être. Il laisse ainsi une fédération MRSL exsangue, vidé de ses militants écœurés de ces basses manœuvres.
Quant à l’ultra gauchiste C. Rousset, imbibé de positions sectaires, on ne peut vraiment pas le définir comme un centriste modéré de gauche.
Enfin, ce PRG….Combien de divisions ? Même pas une escouade !
Peut-on faire confiance à des maîtres de la traîtrise ?..Certainement pas.
Tous ces gens-là ne récoltent que l’ivraie qu’ils ont semée. Mais qui pourrait s’en plaindre ?
M. Rousset a oublié que le PS n'est qu'une composante de l'Union de la Gauche.
Signaler RépondreAu niveau des prétentions: au nom de quoi "Le PRG devait avoir deux circonscriptions"?
"Ce n’est ni de droite ni de gauche de considérer que ça doit aller dans ce sens". En général, quand quelqu'un dit « ni de droite, ni de gauche », c'est qu'il est de droite!
ça doit être dur pour les électeurs du PRG de voir leurs élus frayer avec LREM (même si les K2 sont des dissidents).
la ville, la metropole, le département, la région... beaucoup d étages pour pas grand chose, si ce n est une note très salée!
Signaler Répondreavant de demander plus de dialogue, ces chauffeurs de chaise feraient mieux de remettre en question les institutions pour aboutir a une "chose" plus fiable, cohérent, sans doublons, avec un cout moindre
il y a bien des audits de la cours de comptes a ce sujet!!!??? pourquoi ne pas les appliquer!?
Un gauchiste !!!
Signaler RépondreVite barre à droite et gardons le cap comme disent les marins car eux ( la gauche sont des gens nuisibles) pour les honnetes gens.......
Il suffit de voir ce qui se passe dans les quartiers genre venissieux et autres !!!!!!!
Ce qui déplaît au PS c’est l’inconstance du dit PRG. Un jour participant activement à la création d’un parti de (centre) droit (MRSL) puis « divorçant »... Et aujourd’hui, Rousset veut aller du côté du « plus offrant » pour sauver les quelques personnes élues et fort invisibles. De toute façon, le PRG a tourné le dos à la gauche. Le choix des Macronistes Kim et Collomb le prouve
Signaler RépondreFaites donc un " pic-nique " histoire de vous concilier.
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