Epiceries locales, restaurants bio, créateurs de vêtements éthiques, magasins de décoration… Le Petit Guide pour consommer responsable à Lyon et dans ses environs propose à travers ses 200 pages et 400 adresses de repenser ses habitudes de consommation. "On ne sait pas forcément qu’à Lyon il y a des personnes qui font des savons ou des personnes qui créent des vêtements. Notre objectif est de les mettre en lumière", insiste Clémentine Mossé, présidente de l’association The Greener Good.
Le guide se décompose en six parties sur les différents domaines de la vie quotidienne comme l’alimentation, la maison ou encore les enfants. "Des pictogrammes permettent de voir si l’adresse propose des produits bio ou végétariens. Il y aura aussi une partie pédagogique, c’est-à-dire qu’on va expliquer aux lecteurs du guide comment mieux consommer, comment décrypter les étiquettes des produits, comment choisir un produit en fonction des labels…", poursuit Clémentine Mossé pour qui le guide est une façon "d’adopter une philosophie du consommer moins et mieux".
Une campagne de prévente se déroule jusqu’au 29 février afin d’acquérir le guide qui sera ensuite disponible lors des différents évènements de l’association lyonnaise The Greener Good comme le Printemps des Docks au mois d’avril.
Clémentine et compagnie surfent sur Cette vague.... pour en faire une Vague Verte pour eux.... vert dollar $$$ Il eut été plus malin de trouver des financements (même avec bénéfices pour l’équipe) permettant ensuite d’offrir ce guide. Je n’achèterai donc pas cet ouvrage !
Signaler RépondreAucun mépris... seulement la caractérisation de ce que sont ces gens qui composent la minorité visible et audible. Je préfère personnellement m'occuper des invisibles, ceux qui ont besoin d'aide et de solidarité pour survivre et non pour consommer plus.
Signaler RépondrePar ailleurs, il est regrettable de voir que vous procéder par affirmation et préjugé. Je n'habite pas en ville mais dans un petit village, à 25 km Lyon. Je viens sur Lyon - où je travaille - en train, en vélo et grâce à cette chose merveilleuse dont la nature nous a doté et que certains de nos contemporaines tendent à oublier : mes pieds ! Mes pieds et mon vélo sont également les moyens de transport qui me permettent de me ravitailler en aliments bios et locaux. Voulez-vous toujours discuter de mon bilan carbone ?
Si l'on met de côté les personnes qui se trouvent effectivement dans une situation physique ou économique ne leur permettant pas de vivre convenablement (et je ne parle toujours pas des gilets jaunes), le manque de volonté et la paresse sont les principaux obstacles à la bonne alimentation. Tout est question de hiérarchisation : se déplacer à pied ou à vélo plutôt qu'en voiture pour les trajets courts ; consacrer son budget à bien vivre plutôt qu'à vivre dans l'opulence matérielle.
Aucun mépris... seulement la caractérisation de ce que sont ces gens qui composent la minorité visible et audible. Je préfère personnellement m'occuper des invisibles, ceux qui ont besoin d'aide et de solidarité pour survivre et non pour consommer plus.
Signaler RépondrePar ailleurs, il est regrettable de voir que vous procéder par affirmation et préjugé. Je n'habite pas en ville mais dans un petit village, à 25 km Lyon. Je viens sur Lyon - où je travaille - en train, en vélo et grâce à cette chose merveilleuse dont la nature nous a doté et que certains de nos contemporaines tendent à oublier : mes pieds ! Mes pieds et mon vélo sont également les moyens de transport qui me permettent de me ravitailler en aliments bios et locaux. Voulez-vous toujours discuter de mon bilan carbone ?
Si l'on met de côté les personnes qui se trouvent effectivement dans une situation physique ou économique ne leur permettant pas de vivre convenablement (et je ne parle toujours pas des gilets jaunes), le manque de volonté et la paresse sont les principaux obstacles à la bonne alimentation. Tout est question de hiérarchisation : se déplacer à pied ou à vélo plutôt qu'en voiture pour les trajets courts ; consacrer son budget à bien vivre plutôt qu'à vivre dans l'opulence matérielle.
Aucun mépris de classe : le simple constat de ce que sont ces gens qui représentent une minorité visible. Je préfère personnellement m'occuper de cette minorité invisible qui a vraiment besoin d'aide et de solidarité.
Signaler RépondrePar ailleurs, il est fort regrettable que vous fonctionniez par affirmations et préjugés : je vis à 25 km de Lyon... mais pour venir j'utilise le train, le vélo et - chose extraordinaire dont nous a doté la nature - mes pieds ! Voulez-vous rediscuter de mon bilan carbone ?
Différentes épiceries lyonnaises prouvent qu'il est moins coûteux de se nourrir de produits bios et locaux, plutôt que de produits qui ne le sont pas. Au pire, l'éventuel surcoût - et il est rare - profite à un petit producteur plutôt qu'à un actionnaire.
Signaler RépondreIl faut fuir la grande distribution et les franchises pour revenir au bon sens et à la simplicité. Cela implique de réfléchir un peu, de passer moins de temps sur son canapé pour le consacrer à la recherche des bonnes enseignes, et de sortir de l'ornière dans laquelle nos habitudes nous ont conduits. Le jeu en vaut vraiment la chandelle !
Laissez les gj en dehors de ce débat. De votre part je ne vois qu'un mépris de classe.
Signaler RépondreDe plus vous ne vivez pas en péri urbain donc vous n'êtes pas dépendant de la voiture.
Le principe du bio non bio local ou non c'est que le bilan carbone n'est pas reporté sur la facture. Le jour où ce sera le cas on pourra dire adieu à l'agriculture mal nommée "conventionnelle " en contrepartie il faudra payer les travailleurs dans les exploitations bio. La bio demandant plus de main d'oeuvre
C'est pas si sûr que le bio local soit le moins cher à la caisse.
Signaler RépondreMais ce qui est sûr c'est qu'il y a une partie de la facture que nous ne payons pas, et notamment la partie liée aux effets secondaires néfastes de la production bio ou non bio.
Néfastes pour l'environnement (la faune, la flore, les humains...) .
Et la sûrement que ces effets secondaires sont plus grave dans le non bio.
Mais ils n'apparaissent pas sur la note à payer.
Donc la facture est tronquée.
C'est dingue la méconnaissance des gens : en 2020, penser que la bonne nourriture coûte plus cher... Si vous prenez un légume bio local, il vous coûtera moins cher qu'un légume non bio espagnol qui aura été acheminé par camion et qui sera passé par 2 ou 3 intermédiaires pour atterrir dans votre assiette. L'addition bio + local, c'est la solution idéale pour satisfaire le corps et le portefeuille.
Signaler RépondrePar ailleurs, je trouve très drôle de voir combien les gens braillent parce qu'un aliment serait trop cher, alors qu'ils ont un iphone, un vélo électrique ou une nouvelle voiture, un écran de TV dernier cri, etc. Tiens, ça me rappelle un mouvement vêtu de jaune : "je sais pas dépenser mon argent correctement, donc je l'ouvre pour dire que j'en ai pas assez !"
Il n'y a pas que manger Papy...
Signaler Répondre"..., créateurs de vêtements éthiques, magasins de décoration… Le Petit Guide pour consommer responsable à Lyon et dans ses environs..."
Ah parce qu’en plus c’est payant ce guide ?? Son but est de faire de la pub à des entreprises ou commerçants et ils sont pas fichus de payer pour se faire connaître, c’est à nous de raquer ??? Non merci pour des produits qui vont au final coûter 4 fois le prix d’un autre, sans façon
Signaler Répondremanger ceci pour manger mieux ! Tout à fait d'accord mais vérifier également le prix du produit est aussi important que son estomac donc bonne appétit car Perso je mange ce que je veux et je suis en bonne santé !!!!
Signaler RépondreCordialement