Ce n’est pas la première fois que ce professeur de fitness a affaire à la justice, il avait été condamné en 2015 pour des violences sur sa compagne. Cette fois-ci, l’individu est allé encore plus loin dans sa jalousie maladive.
Dans la nuit de mardi à mercredi, il s’était rendu au domicile de son ex-petite amie à Ecquevilly dans les Yvelines. Souhaitant vérifier qu’elle était seule, il était tombé nez-à-nez avec son ex-belle soeur qui dormait sur le canapé. Après l’avoir poignardée, il avait filé dans la chambre où il avait trouvé son ex et son nouveau compagnon. Là, il avait encore laissé parler sa rage et son arme blanche, éventrant sa victime et s’acharnant également sur celui qui l’avait remplacé dans le coeur de la trentenaire.
Prenant la fuite à bord du véhicule de son ex, l’homme avait laissé derrière lui une morte et deux blessés graves. Un féminicide pour lequel il devra probablement s’expliquer devant une cour d’assises puisque sa courte cavale avait très vite pris fin à Villefranche-sur-Saône où les enquêteurs avaient géolocalisé son téléphone.
Sale tarés à enfermer a vie
Signaler RépondreIl faut que les femmes se protègent, ne fréquentez plus les hommes, regardez les stats.
Signaler Répondre@Fredo654, a raison la construction du mot féminicide est totalement ignare.
Signaler RépondreAu mieux, si vous êtes persuadé a tort, que homicide signifie tuer seulement un homme et pas un être humain, le mot fémicide serait plus justifié.
féminicide c'est le pendant de masculinicide.
Arrêtez d'utiliser le mot "féminicide". C'est un meurtre, point final.
Signaler RépondreIl ne l'a pas tué juste parce que c'est une femme, il l'a tué à cause d'une pathologie.
Un infanticide est le meurtre de son propre enfant, par exemple par refus d'être parent. Un malade qui tue un autre enfant n'a jamais été décrit comme "infanticide".