A première vue, elle ressemble en tout point de vue à l’application Yuka. Si l’un des objectifs de myLabel est bien de connaître la qualité nutritionnelle d’un produit, elle permet surtout d’aller plus loin dans le bien-manger.
Huile de palme, juste rémunération des producteurs, bien-être animal, présence de pesticides ou d’additifs et même égalité entre les femmes et les hommes… Les utilisateurs peuvent prendre en compte une vingtaine de critères afin d’affiner leur sélection de produits du quotidien. "On part du bien manger mais avec immédiatement après une question liée à l’impact. Qu’est-ce que j’entraîne avec moi dans mon achat ?", assure Christophe Hurbin, co-fondateur de myLabel. "C’est un positionnement original qui apporte quelque chose de différent", ajoute l’entrepreneur. La start-up s’appuie notamment sur des tiers de confiance pour évaluer les 700 000 produits référencés à l’exemple de GreenPeace ou encore 60 millions de consommateurs.
L’application gratuite reste pour autant simple d’utilisation. Après avoir choisi une thématique sur laquelle vouloir se mobiliser (santé, planète, social), il est possible de scanner une boite de céréales ou encore une tablette de chocolat dans un petit commerce, en grande surface ou sur internet.
"Je vois immédiatement un petit smiley qui me dit si ce produit est conforme ou non conforme à mes attentes", explique Christophe Hurbin. "Pour un produit non conforme, je peux demander des alternatives et l’application calcule pour moi ces alternatives qui vont me correspondre. Je vais donc changer un petit quelque chose dans ma consommation", poursuit-il. Une façon de répondre à l’évolution des modes de consommation. "Aujourd’hui, c’est une majorité de personnes qui souhaitent consommer des produits meilleurs pour l’environnement", insiste le co-fondateur.
L’application myLabel a déjà été téléchargée (App Store et Google Play) plus de 27 000 fois depuis son lancement.
Excellente initiative.
Signaler RépondrePas dans le musée de la gastronomie, car il très cher, trop cher !
Signaler RépondreUn piège a toutou (touristes)