Ce mardi matin, une convention de lutte contre les violences LGBTphobes a été signée à la Préfecture du Rhône, fruit d’une concertation entre de nombreux acteurs de la lutte sur la scène locale. Parmi eux ont retrouve le Ministère de la Justice et de l’Éducation Nationale, la Métropole de Lyon ou encore les villes de Villeurbanne et de Lyon et des associations comme le Centre LGBTI+ de Lyon ou SOS homophobie.
Un texte qui comprend une cinquantaine de mesures face à "l’urgence d’agir" d’après Pascal Mailhos, préfet du Rhône. En effet, 63 infractions avaient été relevées l’année passée contre 56 en 2018. Des chiffres discutables puisque selon l’association signataire de la charte SOS homophobie, 107 agressions LGBTphobes avaient été relevées en 2018, "mais qui représente seulement 2% des faits totaux" selon cette fois le Forum Gay & Lesbien de Lyon.
Des passages à l’acte "qui nous ont poussé à agir", affirme Nicolas Jacquet, procureur de la République de Lyon, qui a notamment pour objectif de "faire en sorte que tous les comportements haineux soient portés à l’autorité judiciaire".
Pour cela, il y aura désormais une sensibilisation toute particulière qui sera dispensée aux policiers et gendarmes mais aussi aux personnels de l’Education nationale et les écoles du ministère de la Justice. Plus compliqué, aussi, la sensibilisation des supporters ou des joueurs des clubs sportifs de la région.
Pour assurer les bons rouages de la machine, et comme le protocole contre les violences faites aux femmes signé en décembre, un référent au sein de chaque commissariat et gendarmerie, et un autre référent au parquet de Lyon, seront désignés.
Toujours selon Nicolas Jacquet, cette réponse générale qui doit permettre une libération de la parole pour assurer, le cas échéant, "la prise en compte systématique de la circonstance aggravante" lors des procédures judiciaire. Une véritable "tolérance zéro" assumée, et qui fera l’objet de réguliers points d’étape. Afin d’accompagner au mieux les présumées victimes de ces actes violents, la charte indique aussi une "mise en relation avec les associations d’aide aux victimes".
Enfin, une cartographie relative aux agressions LGBTphobes sera réalisée prochainement pour "redoubler de vigilance dans les lieux connaissant régulièrement des violences".
Même si de récents exemples ont porté l’attention sur des faits commis dans le centre-ville de Lyon comme en octobre, en novembre ou en décembre dernier, les participants ont rappelé que l’attention devait être de mise partout.
Grâce à cette cartographie, et à l’inventaire des agressions signalées, une application mobile, FLAG!, sera mise en ligne en mars 2020 et listera les lieux sensibles.
C'est la meilleure vanne de l 'année ! ils pourront désormais gambader , en paix , dans les cités ! no problem ????
Signaler Répondretout le monde à lyon , sait qui fait QUOI !!!!!
donc , arrêtez ce cirque irréformable !!!!!
Mais non !!!
Signaler RépondrePuisque les autres agressions sont autorisées par les procureurs !!!
Signaler RépondreSi un LGBT m'enmerde, plus le droit de me défendre alors ?
Signaler RépondreIl faut les même droits pour tous, LGBT, femmes, etc Ca devient du grand n'importe quoi la macronie
Je travaillais à cette période sur Ecully à seulement 30m, je n'ai pas vu d'affiche ou autre à l'époque dans le village...comme des bons anti-Français qui se respectent ils ont fais ça entre gens "bien", dans l'entre soit habituel du gauchisme idéologique.
Signaler RépondreDe plus " La rencontre avait lieu à l’Espace Écully, structure municipale, et a été ouverte par le maire de la ville, Yves-Marie Uhlrich (Force européenne démocrate, le parti – centriste – de Jean-Christophe Lagarde)"
Je vous renvoi aux affiliations maçonniques du frère la truelle Lagarde et de son parti "centriste", bien décrites dans Faits et documents. Élu ou travestis, je ne fais plus la différence.
Bonne remarque...
Signaler RépondreVous mélangez tout.
Signaler RépondreMême si les agressions sur tout individu existe évidemment pour diverses raisons, il faut bien reconnaître que les personnes LGBT sont beaucoup plus à risque, plus enclines à être détestées et agressées par des abrutis malheureusement.
Et les agressions contre Bassem vous allez faire quoi ??
Signaler Répondre"Même si de récents exemples ont porté l’attention sur des faits commis dans le centre-ville de Lyon comme en octobre, en novembre ou en décembre dernier"... En 2019 les assocs LGBT et leurs amies d'extreme gauche ont été plus que discrètes sur ces agressions homophobes... Etrange...
Signaler RépondreEt sinon des mesures pour ceux qui se font tabasser en plein jour rue de la république,ceux qui se font tabasser pour une cigarette, ceux qui se font rouer de coups de barre de fer place des terreaux etc...?
Signaler RépondreAh non,bien sur... Si vous n'appartenez pas à une minorité quelle qu'elle soit tout le monde s'en fout et vous n'avez le droit qu'à baisser la tête et fermer votre gueule....
Déjà faudrait déjà se débarrasser des ploucs assis sur une chaise à chaque coin de rue et les envoyer en apprentissage
Signaler RépondreOui cela sera juste et tout simplement logique lutter contre toutes les agressions et violences ca ne vise pas qu une catégorie de personne,vraiment nimporte quoi....
Signaler RépondreTiens.Il y a un vieux qui s'est fait tabassé récemment et qui prône l'homophobie depuis plus de 3 ans sur internet.
Signaler RépondreJusqu'ici personne n'agit.
Par contre,quand c'est lui la victime, ça fait le tour de France et des politiques avec ouverture d'enquêtes judiciaires.
Et si on faisait qqchose pour toutes les violences en général... Non?
Signaler RépondreLes schmitts ne pensent qu 'à l'heure de l 'apéro , avec le giro , pour rentrer plus vite au commissariat !
Signaler RépondreC'est contre tout type d'agression qu'il faut lutter... il n'y a pas d'échelle de valeur dans les agressions ... c'est du grand n'importe quoi !
Signaler RépondreComment voulez vous faire diminuer les agressions anti-LGBT quand on voit ce genre de propagande non sanctionnée et orchestrée par des élus de la métropole ? Ils s’attaquent même aux enfants mais la préfecture du Rhône, le procureur et même les journalistes ne disent rien.
Signaler Répondrehttps://www.komitid.fr/2012/12/19/video-buzz-a-ecully-une-rencontre-contre-le-mariage-pour-tous/
Vous semblez être obnubilé par les loubards! Vous est il difficile de sortir dehors sans être mort de trouille ?
Signaler RépondreAh, c'est dur la vie...
Ce qu'elle a dit n'avais rien à voir avec les LGBT et à ce que je sache, le christianisme condamne aussi l'homophobie...
Signaler RépondreOui et les autres agressions ???? Les agressions dans les quartiers ou la polices ne peut plus faire régner l ordre on fait quoi
Signaler RépondreTrès bien mais il ne faudrait pas se focaliser sur ce seul problème et continuer à fermer les yeux sur toutes les formes d'incivilité et de non respect des lois.
Signaler RépondreLa tolérance vis à vis des incivilités... est trop souvent prise pour de la faiblesse.
Très bien. Et pour les agressions en général que fait-on ? Assez de ces autorités qqui choisissent leurs combats !
Signaler RépondreÇa va beaucoup servir encore ce truc !!!!MDR
Signaler Répondred'autant que les agressions homophobes sont à 99 % le fait de ces fameux loubards de banlieue
Signaler RépondreOui vous avez bien raison tolérance zero pour toutes les agressions violences dans ce pays qui part en vrille total
Signaler RépondrePour l'affaire Mila, par contre, la LGBT a fait profil bas... et a même sommé à Mila de retirer l'emblème LGBT de son site, il semble...
Signaler RépondrePourquoi ne pas simplement lutter contre toutes les agressions, quelles que soient les orientations sexuelles des uns et des autres?
Signaler RépondreOn croit rêver...
Et quel pourcentage de tolérance concernant les agressions des loubards de banlieue ?
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