Il a été établi que 1 500 migrants, souvent originaires d'Afrique de l'ouest, sont passés par ce réseau. Les trois organisateurs de ce trafic risquent donc sept et huit ans de prison ferme, ainsi qu'une interdiction formelle et définitive de présence sur le territoire français. Les chauffeurs des camionnettes, dans lesquelles étaient entassés parfois des dizaines d'homme, encourent quant à eux trois et quatre ans de réclusion.
Le magistrat a donc été assez ferme dans ses décisions, rejetant en bloc la ligne de défense "humanitaire". Le jugement est attendu dans la journée ce vendredi.
Réagissez ?
Signaler RépondreCela a été fait et vous avez censuré donc à ce que je vois je suis le seul car le mien aussi est passé à la trappe !!!journalistes dites vous ?