Les Lyonnais et les Rhodaniens sont maintenant prévenus. Un déplacement non autorisé durant la période de confinement fait désormais l’objet d’une amende de 135 euros. Cette dernière sera portée à 375 euros en cas de majoration. L’amende était auparavant de 38 euros.
Pour rappel, 100 000 membres des forces de l’ordre ont été déployés sur tout le territoire français afin de faire respecter la période de confinement général qui a débuté mardi à midi et qui doit durer au moins 15 jours.
Les déplacements pour le travail, les courses, les besoins de première nécessité, les déplacements pour motif de santé, motif familial impérieux ou assistance de personne vulnérable, les déplacements brefs à proximité du domicile ou l’activité physique sont autorisés à condition de présenter une attestation sur l’honneur disponible sur le site du ministère de l’Intérieur.
Ce mardi, plusieurs opérations de police ont été menées dans les rues de l’agglomération lyonnaise. Selon nos informations, douze amendes ont été dressées dans le quartier de la Guillotière ainsi que d’autres à Villeurbanne.
On va voir si cette mesure s’applique à la Duchere et aux autres quartiers sensibles ras le bol de ces dérangés du bocal qui ne respectent rien
Signaler RépondreAu japon ou en Chine la population applique la distanciation de 1 m après 1 déclaration médiatique, par sens du devoir, par respect pour autrui, etc...
Signaler RépondreEn France il faut des militaires, des amendes et 3 semaines de bourrage de crane médiatique pour commencer a voir un début de commencement de bon sens dans l'attitude de la population.
Ce pays est à pleurer.
Quartier de la guille où tout est permis en matière de trafics ;drogues,clops,vols,prostitution de roms .....
Signaler RépondreC'est malheureux mais seule la contrainte ( financière ou autre) fait rendre raison à nos concitoyens. Il faut s'isoler au maximum pour briser la chaine de contagion. Y'a pas d'autre solution. Ceux qui en doutent sont des abrutis ou des ignares !
Signaler RépondrePour les amendes, les décrets sont vites publiés, par contre pour le chômage partiel, mes employeurs l attendent toujours, ce qui fait que je ne sais toujours pas si je vais être en chômage partiel, ou purement et simplement licenciée.
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