Les deux organisations exigent l'arrêt pur et simple des chantiers pendant toute la durée du confinement qui a démarré il y a trois jours.
CAPEB et FFB ne veulent plus de "demi-mesures, qui ne permettent pas d'assurer la sécurité immédiate des salariés et compagnons" et pointent du doigt "des conditions sanitaires exigées qui ne peuvent être réunies sur la très grande majorité des chantiers de bâtiment". Cela au regard de "l’impossibilité de se procurer des moyens de protection individuelle (gels voire masques...) que l'on ne peut pas remplacer par d'autres moyens".
Pour fermer les chantiers de la région, la confédération de l'artisanat et des petites entreprises du bâtiment et la fédération française française du bâtiment d'Auvergne-Rhône-Alpes souhaitent l’élargissement du bénéfice du chômage partiel pour les entreprises et artisans du Bâtiment.
Seuls les services et les entreprises indispensables à la gestion de la crise sanitaire du pays doivent travailler! Tout le reste doit s'arrêter!
Signaler RépondreEt oui! On est typiquement dans le "en même temps" macronien. Macron demande aux français de rester chez eux, mais en même temps d'aller travailler quand même. Les entreprises du BTP doivent aller travailler, mais:
Signaler Répondre- leur client souvent leur interdisent de poursuivre.
- leur salariés n'ont pas le droit de sortir.
- ils ne peuvent plus se fournir en matériaux.
- la police arrête les chantiers.
Et pour couronner le tout Pénicaud les traitent de fainéants, alors que toutes les boites sont le cul entre 2 chaises, doivent continuer à payer les salaires et les charges, mais sans pouvoir vraiment travailler, et l'état leur dit maintenant qu'ils seront peut-être pas aidés.
Aujourd'hui l état veut donner de l argent supplémentaires au détenus dans les prisons vu que les parloirs sont interdits,pour qu ils puissent plus téléphoner,les pauvres.........et plus payer le chômage partiel dans le bâtiment mais quel honte ,on est gouverné par quoi?
Signaler RépondreInquiétant.
Dans le bâtiment nous avons quasiment tous arrêté les chantiers. Sauf que Macron veut nous faire travailler..... et certains de ces préfets indiquent que les entreprises devront justifier pourquoi elles ont arrêtées . Dans le cas contraire le chômage partiel ne pourra être validé On y est .....ils vont commencer à pinailler pour que les entreprises touchent de l’argent. On est pas prêt dans voir la couleur ! Et comment beaucoup d’entreprises vont faire pour continuer à payer les salariés et survivre
Signaler RépondreCelui de la gare de la Part-Dieu / To-Lyon semble déjà arrêté... pour de bon?
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