Lorsqu’il avait 18 ans, il avait été raflé par les soldats de la Wehrmacht le 1er mars 1943 à Villeurbanne. Avec 139 autres personnes, il avait été enfermé dans un wagon de train, direction Compiègne puis Mauthausen. Esteban Vargas connaîtra l’enfer de cinq camps.
Depuis mars 2019 et la mort de René Belaz, Esteban Vargas était le dernier survivant de cette rafle villeurbannaise. Son dernier regret aura été de ne pas avoir pu se rendre à la cérémonie annuelle organisée par la mairie de Villeurbanne le 1er mars dernier.
A tous les Villeurbannais de cœur et d'esprit.
Signaler RépondrePendant longtemps, espérons que le chant des Marais (le chant des Déportés), résonne sous les voutes de Notre Dame de la Nativité à Villeurbanne. En souvenir d'Esteban VARGAS et de ses compagnons. Avoir 20 ans à Mauthausen et avoir eu cette immense et merveilleuse force d'en revenir pour témoigner, oui! de témoigner : aux autres, à Nous.
C'est papy du RN qui nous fait cette leçon ?
Signaler RépondreLui qui veut exclure tout les sans papier de France ?
Il faut se souvenir de la folie de l'extremisme et de l'obscurantisme, surout en ce moment ou l'europe est sujete à une nouvelle vague d'obscurantisme et de peste brune
Signaler RépondreCondoléances à la famille . LUI, savait , que sur cette Terre, ce n’etait Pas le paradis MAIS bien L’ENFER .
Signaler RépondreQu ils reposent tous en paix et qu un meilleur monde, les accueille à bras ouverts.
Signaler RépondreRESPECT
Signaler Répondreà cet homme victime de la cruauté fes hommes, hélas toujours actuelle, mais tant d'histoires hantent encore le quartier grand-clément, mon père et ses amis m'en racontèrent car l'ayant vécu..triste et tragique..
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