Ce mercredi, le préfet de Région Auvergne Rhône-Alpes, le maire de Lyon, le président de la Métropole, celui du conseil de surveillance des HCL, le Directeur Général de l'Agence Régionale de Santé et la Directrice Générale des Hospices Civils de Lyon ont publié un communiqué commun. Ils rappellent que depuis le 23 mars, les marchés ouverts de la capitale des Gaules ont été fermés pour lutter contre l'épidémie de coronavirus. Pour les signataires, "les premiers effets positifs du confinement commencent à se faire sentir, tout relâchement dans le confinement et dans les règles de distanciation nécessaires ruinerait les efforts consentis par la population et menacerait de surcharge les établissements hospitaliers".
Ainsi, les marchés de Lyon ne devraient pas être à nouveau ouverts car "le maillage de la ville en commerce alimentaire de proximité ne permettait pas de démontrer un besoin signalé d'approvisionnement. De même, à la suite d'échanges avec les services de l'État, il est apparu que les conditions restrictives imposées d'organisation des marchés, de circulation des clients, d'encadrement des pratiques de vente et leur contrôle seraient particulièrement difficiles à mettre en oeuvre et ne permettraient pas de se prémunir contre l'afflux habituel de clients connu sur les marchés lyonnais”.
A Villeurbanne, certains marchés ont la possibilité d’obtenir des dérogations.
Qu'est ce qui vous fait penser que je ne leur ai pas dit mais qu'ils s'en foutent ?
Signaler RépondreComme d'ailleurs plusieurs clients habituels qui ont eu la même réaction plus qu'étonnée.
Soit on met en place un confinement pour limiter une épidémie et tout le monde joue le jeu
Soit on considère que ça ne sert à rien et tout le monde est ouvert.
Je suis d'accord, c'est pas beau de rapporter, mais lui suggerer d'aller leur dire en face...moi je veux bien mais les gens qui frequentent ce commerce, c'est le genre à ne jamais se presenter à mpins de dix contre un et à insulter les autres de suite
Signaler RépondreIl est plus facile d etre contaminee dans un super marche qu a l air libre sur un marche. Toute cette propagande gouvernementale est pilotee par les grands groupes !
Signaler RépondreMerci À LYONMAG de relayer la délation de Tonkinkin, Radio Paris a de beau jour!!
Signaler RépondreA Tonkinkin C’est de la délation même si c’est peut être vrai, tu n’as pas eu le courage de rentré dans la boulangerie leur dire!!! Tes ancêtres ne sont pas des anciens fonctionnaires de Vichy
Signaler RépondreChristophe QUINIOU a cédé aux sirènes de la grande distribution en interdisant les marchés, pourtant moins bondés que les grandes surfaces, et avec des produits réellement locaux. M. Christophe QUINIOU devra rendre des comptes une fois cet épisode achevé, par les urnes certes mais j’espère aussi devant la justice.
Signaler RépondreCe qui est logique, surtout venant du préfet, c'est que ce que Lyon ne fait pas, d'autres villes voisines le font.
Signaler RépondreA Villeurbanne par exemplel y a marché presque tous les jours.
Il y a aussi des producteurs, ou distributeurs, qui par le bouche à oreille viennent écouler leurs marchandises, camionettes garées sur le trottoir, et clients qui défilant pour récupérer leurs commandes.
On interdit d'un côté, on autorise de l'autre.
Et puis c'est vrai, il y en a qui aiment se faire frissonner à faire la queue une heure ou deux à 3m de distance les uns des autres pour avoir l'immense privilège d'entrer dans le temple de la consommation C....... r.
Ne leur enlevons pas cela !
Je suppose qu’il ont prévu les dispositions pour fournir aux personnes vulnérables des produits frais ?
Signaler RépondreLe confinement n'est pas toujours respecté
Signaler RépondrePar exemple la boulangerie des samouraïs au Tonkin dans laquelle les gens s'installent tranquillement pour consommer sur les tables à l'intérieur
Injuste vis à vis des commerces à côté qui ont fermé
Injuste aussi vis à vis des petits marchés effectivement
cyrielle a raison
Signaler Répondremais que voulez vous
cette crise est en train de devenir une affaire de gros sous
au profit de la grande distribution
et des labos pharmaceutiques qui se disputent le bout de gras
et je pense que cette situation va perdurer
c 'est reparti comme en 40
les marchés sont fermés car les gens sont indisciplinés allez voir dans les postes leurs comportements d'abrutis
Signaler RépondreVision idéalisée et pseudo rassurante de la situation du centre ville. les décideurs ne le fréquente pas quotidiennement . les produits frais sont de très mauvaise qualité et peu nombreux. Certains sont hors de prix pour une bourse sage. comment comprendre que le Monoprix de la rue de la rue de la république mette au chomage partiel ce jour son boucher et oblige ses clients à acheter des barquettes. les commerces alimentaires de première nécessité abusent du chomage alors que la ministre du travail s'étonne elle meme de cette situation qui n'existe dans aucun des autres pays européens ........
Signaler RépondreJe ne comprends pas l'interdiction des petits marchés comme celui du Point du Jour. Des petits producteurs viennent vendre leurs marchandises: fruits et légumes, produits laitiers. Les prix sont plus abordables que dans les commerces de proximité. Il faut faire confiance à la population prête à respecter la distanciation sociale. C'est très triste d'abord pour les producteurs et pour les consommateurs privés de produits de qualité.
Signaler RépondreC'est une bien triste décision, car elle enlève à toute une partie de la population une manière simple et peu couteuse de ce nourrir : la population non éligible aux services alimentaires sociaux mais qui n'a pas les moyens suffisants pour s'approvisionner en supermarché ou en panier Biobio....
Signaler RépondreHormis quelques marchés peu organisés, les petits marchés présentaient l'avantage du "grand air" et des produits frais. Les gagnants sont les distributeurs semi-industriels. Une hérésie commerciale et mortifère pour les réseaux de producteurs. On en verra les résultats dans un trimestre.
Signaler Répondrebonne nouvelle en ce qui concerne les marchés surtout celui de st Antoine, qu’il reste interdit
Signaler RépondreDommage de se priver des marchés car je suis sûr que l'air peu renouvelé des magasins sont plus propices à la propagation que le grand air sur les places et les quais. Mais c'est plus facile d'avoir l'oreille des politiques quand on pèse plusieurs millions d'euros que qques milliers
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